Après presque 200 pages de lecture, je referme ce roman.
L'écriture est claire, limpide. Je ne remets pas en cause les talents d'écrivain de l'auteur.
Mais je n'adhère pas à l'histoire. Je ne m'attache pas aux personnages. Sofya et Eliza me semblent superficielles et m'apparaissent comme de "pauvres petites filles riches". Varinka est, elle, la pauvre de l'histoire.
Le 1er roman écrit par
Martha Hall Kelly ne m'avait pas convaincu à 100 %.
Avec celui-ci, je n'accroche pas... J'arrête...
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