Du Anita Blake comme on n'en attendait plus!
On revient au côté "thriller" qui m'avait conquise dès le premier tome. Pour une fois, on échappe aux tics de l'auteur. Certes on a quelques éléments récurrents : une scène de sexe, un nouveau partenaire, certaines répliques apparemment obligatoires ("so tight and so wet"... - l'auteur doit avoir un mug avec ce slogan, il n'y a pas d'autre explication)
Mais l'intrigue est bien ficelée, la tension gérée comme il faut...
J'en viens à m'interroger ce qui fait un bon ou un mauvais Anita Blake (je ne parle pas de Merry : je n'ai jamais vraiment accroché), et j'arrive à la conclusion suivante :
maintenant qu'on connaît le harem d'Anita, les scènes comme celle du début
où on a l'étalage d'une partie de la marchandise - désolée mais c'est comme ça que je le vois - |/masquer] ne devraient pas prendre part à l'intrigue. En fait, il suffirait de l'utiliser en toile de fond, par allusions, flash-backs et petites touches - en gros, épurer un peu la ligne scénaristique - pour que le résultat soit plus équilibré.
Hélas, je sais bien que ça n'est pas le cas dans les volumes qui suivent. Je sais même que le(s) prochain(s) sera(ont) décevant(s). Je ne peux que vous renvoyer vers le Anita Blake asylum, où on trouve une masse d'informations sur lesdits tomes.
Laurell, si tu m'entends...
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