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Critique de sagebooker
Un tome totalement dispensable... même emprunté à une copine qu'on n'aime pas, vous ne risquez pas d'oublier de lui rendre, et vous penserez même que la pauvre a bien perdu son argent.
Il y a deux scènes et demi dans ce livre, toutes en parlotte comme le fait de plus en plus l'auteur dans la série. La demi-scène, c'est la description des fringues d'un groupe en attente à l'aéroport, et sincèrement, comme il est dit clairement dans la série des Cast mère et fille "la maison de la nuit" : Laurell Hamilton est l'auteur qui a le plus mauvais goût en matière de fringues.
Et les deux scènes ce sont deux scènes de c. il n'y a pas d'autre mot : ni érotisme, ni plaisir de lecture. de la pornographie, deux scènes entre 4/5 mêmes protagonistes même pas importants pour la série (à part l'héroïne), sur deux jours de huis clos autour d'un super suspense "est-ce que la copine de Jason le quittera" qui est évacué dès l'ouverture ou presque.
N'achetez pas. Ne lisez pas. N'empruntez même pas pour un jour de cafard. Dispensable
Il y a deux scènes et demi dans ce livre, toutes en parlotte comme le fait de plus en plus l'auteur dans la série. La demi-scène, c'est la description des fringues d'un groupe en attente à l'aéroport, et sincèrement, comme il est dit clairement dans la série des Cast mère et fille "la maison de la nuit" : Laurell Hamilton est l'auteur qui a le plus mauvais goût en matière de fringues.
Et les deux scènes ce sont deux scènes de c. il n'y a pas d'autre mot : ni érotisme, ni plaisir de lecture. de la pornographie, deux scènes entre 4/5 mêmes protagonistes même pas importants pour la série (à part l'héroïne), sur deux jours de huis clos autour d'un super suspense "est-ce que la copine de Jason le quittera" qui est évacué dès l'ouverture ou presque.
N'achetez pas. Ne lisez pas. N'empruntez même pas pour un jour de cafard. Dispensable
