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Critique de fnitter


Retour dans le Vide pour suivre cette fois-ci Slvasta et sa révolution, mais aussi Nigel, du moins son clone, venu enquêter.


Les romans du Commonwealth.
L'étoile de Pandore était 100 % SF.
La trilogie du Vide n'était plus que 50 % SF.
Là on frôle les 10 %. C'est de la Fantasy en fait. Mince, si Hamilton voulait en faire (ce qui n'est pas mauvais en soi), il n'a qu'à directement annoncer la couleur. Moi je voulais lire de la SF. D'un autre côté, la troisième loi de Clarke serait-elle passée par là ?
Mais bon, coup de gueule passé. Ça reste quand même vachement bien cet épisode. Le format, plus court qu'habituellement, condense les faits et on ne s'ennuie pas une seconde à Bienvenido… :-)


Une sorte de modèle à la PJ Hérault, le héros supertechnologique dans une société archaïque qui gagne et résout tous les problèmes avec son superordinateur.


Dans la trilogie du vide, force est de reconnaître que la partie intéressante était bien les passages sur Quenceria. Hamilton a exaucé nos désirs et fonde tout ce premier tome dans le vide pour nous faire vivre une révolution lénino-trotskiste.
Passionnant.
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