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3,97

sur 530 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cinquième tome de la série (qui en compte treize), un nouveau tome qui reprend à nouveau le scénario des tomes précédents. Mais celui-ci est riche en nouveaux éléments dans l'histoire des orphelins.

Les enfants retournent à l'école! Mais ce qui devait être un bon moment se transforme en horreur. Les enfants sont obligés de vivre dans la bicoque aux orphelins, une sorte de grange habité par des petits crabes et suintant d'une substance verdâtre. Dans ce collège, pas de week-end, des cours inintéressant...La pauvre Prunille ne peut pas aller au collège et elle se retrouve étrangement promu assistante du directeur, un sale type égocentrique et un peu idiot sur les bords.

Mais heureusement, dans cette école, ils rencontrent Isadora et Duncan Beauxdraps, des triplés (leur frère est mort), eux aussi orphelins depuis que le reste de leur famille est morte dans l'incendie de leur maison familiale. Ensemble, ils essayent de déjouer le nouveau plan du Comte Olaf.


Dans les nouveaux personnages, nous avons Mr Nero, le directeur du collège, un personnage plutôt ridicule mais qui croit être merveilleux et le centre du monde en plus de jouer de la mauvaise musique. Les deux professeurs, Mr Remora et Mme Alose ont des cours pas du tout intéressants. Isadora et Duncan sont supers. Isadora aimerait être poétesse et Duncan aimerait être journaliste. Comme les Baudelaire, ils sont orphelins, héritiers d'une grosse fortune et très intelligents.


La fin est très intéressante et amorce un changement dans l'histoire qui nous fait pose pleins de questions.


Un cinquième tome très intéressant.
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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Le tuteur est de plus en plus distant des orphelins Baudelaire, et eux se prennent de plus ne plus de malheurs dans la figure. Évidemment, le comte Olaf se déguise, évidemment ce auquel il tenaient sera perdu ; pour ma part, j'aurais bien continué sur la lancée, mais Lemony Snicket, intelligent et n'étant plus limité par son éditeur qui lui accorde enfin pour de bon 13 tomes, décide enfin d'introduire ce qui - ça n'en a pas l'air sur le coup, mais vous verrez passé le tome 7... - donnera un changement majeur à l'histoire. le fameux VdC. Si vous lisez cette série et qu'elle commence à vous casser les pieds, ne désespérez donc pas. Certes ce tome sera une nouvelle fois totalement absurde, presque surréaliste, et ça n'avancera pas non plus des masses, mais la machine commence à se réveiller. Et d'ici quelques tomes, nous saurons enfin qui sont parents des enfants Baudelaire...
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Les mésaventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et cette fois, puisque ça ne fonctionne avec aucun tuteur, c’est dans un pensionnat qu’ils sont placés. Le pensionnat J.Alfred Pufrock, dont les bâtiments ressemblent à des pierres tombales et qui a pour devise « Memento mori » (souviens-toi que tu vas mourir). Tout ça n’a rien de très engageant !

Encore une fois, c’est une aventure palpitante que nous offre là le talentueux Lemony Snicket. Certes, c’est vrai qu’on s’attend un peu à la façon dont les choses vont se dérouler : là encore, le comte Olaf débarque, une fois encore il est déguisé, come d’habitude les adultes ne se rendent compte de rien et comme toujours, les enfants se débrouillent tous seuls. Tous seuls ? Non, et c’est la nouveauté de ce tome 5. Dans leur pensionnat, les enfants rencontrent les triplés Beauxdraps, qui ne sont plus que deux suite au décès de leur frère et de leurs parents dans un incendie. Et comme eux aussi vont hériter d’une belle fortune à leur majorité, les enfants Baudelaire et les enfants Beauxdraps ne tardent pas à devenir amis et à s’entraider.

Autre nouveauté de ce tome 5 : on commence à nous parler de VDC. Et même si, pour l’instant, on n’a pas la moindre idée de ce que c’est, ces trois lettres intrigantes nous lancent dans un aspect nouveau de l’histoire.

Comme d’habitude, nous retrouvons le style narratif de Lemony Snicket que nous avons tant apprécié dans les tomes précédents. Il n’y a donc pas de grosse surprise, ni de gros dépaysement dans ce tome 5. Alors même si désormais, ça commence à sentir le réchauffer, ça n’en reste pas moins distrayant.

Je vais donc, de ce pas, lire la suite !
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Après "Cauchemar à la scierie" je me suis aussitôt plongée dans la suite avec la nette impression que le récit allait évoluer et sortirait cette fois des sentiers battus... Et je ne me suis pas trompée puisque l'environnement est complètement différent : Violette, Klaus et Prunille - qui ont apparemment épuisé leur stock de tuteurs potentiels - partent en pension ! Mais pas n'importe quelle pension : un collège affreusement glauque dont les bâtiments ressemblent à des tombes et dont les élèves étudient uniquement les systèmes métriques. Violette, Klaus et Prunille vont encore souffrir sous le coup de lois toutes plus absurdes les unes que les autres !

C'est donc à l'institut Prufrock qu'il font la connaissance d'un proviseur adjoint amateur de violon, d'un professeur amateur de banane, d'un étrange entraîneur de sport amateur de turban, et d'une peste appelée Carmelita déterminée à leur pourrir la vie !

Comme le lecteur s'en doute, leurs aventures continuent dans la même veine (ou déveine) qu'auparavant, car peu importe les lieux ou les protagonistes, le destin des orphelins n'est pas d'avoir une existence facile. Rien ne va s'améliorer avec ce nouveau récit, et leur vie s'apparente bien plus à une succession de calamités qu'autre chose...


Alors certes les déboires s'enchaînent aussi dans ce 5ème tome, mais tout n'est pas si noir : parmi leurs malheurs apparaîtront tout de même de toutes petites lueurs d'espoir dans les personnes d'Isadora et Duncan Beauxdraps - deux triplés ! - avec lesquels les orphelins se lient aussitôt d'amitié. Et puis les brefs moments de bonheur rencontrés au fil de leurs pérégrinations finissent par leur apprendre la puissance et le réconfort des liens fraternels. Les souvenirs remontent plus volontiers à la surface que dans les autres tomes, et là aussi, les enfants y puisent l'énergie de se battre contre leurs ennemis... On découvre avec joie une nouvelle bibliothèque qui laisse rêveur, Prunille prononce son premier mot vraiment compréhensible, et surtout, on en apprend plus sur le mystérieux passé de l'auteur ! (Lemony Snicket fait toujours autant sourire avec ses anecdotes et ses péripéties, et sa relation passée avec sa bien-aimée Béatrice lève le voile sur bien des choses que je ne divulguerai pas ici...)

Lien : http://tranchesdelivres.blog..
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Allez j'ai récidivé avec les plus que malheureuses aventures des jeunes Baudelaire...
J'avais peur en commençant ce cinquième tome que l'on retombe dans le même schéma : un nouveau tuteur (plus ou moins aimable), le comte Olaf déboule grimé, personne ne veut croire que c'est lui, les enfants essayent de se dépatouiller tant qu'ils peuvent et le comte s'enfuit !
Heureusement, ce cinquième opus donne un nouvel élan à la saga.
Pas de tuteur, les enfants sont confiés « aux bons soins » d'un collège... enfin bons soins.... hum hum...
Évidemment, ça va mal tourner à cause du comte Olaf... mais voilà pas comme dans les 4 premiers romans ! Ouf ! le suspense est sauf !
Sans être transcendent, ce tome relance l'intrigue et l'intérêt de cette série...
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Tiens mais c est vrai que les orphelins Baudelaire n étaient pas encore allés à l école. Et bien sûr il faut que ce soit une vraie catastrophe ! Fort heureusement ils vont faire la rencontre de triplés qui ne sont plus que 2, prêts à les aider à démasquer le terrible comte Olaf.

À ce stade des aventures, on prend surtout plaisir à se demander comment le comte Olaf va se déguiser et quelles horreurs il va faire subir aux orphelins. Malsain me direz vous.... ma foi oui mais l'auteur adore jouer avec cette dimension de ses livres.
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Monsieur Poe l'avait dit, « Si vous ne vous comportez pas correctement à la scierie, vous irez au pensionnat ».
Dans cette école, le comte Olaf ne se risquera pas à venir. le proviseur a enregistré son signalement dans l'ordinateur qui régit son institut et si le scélérat devait se manifester, ils seraient aussitôt avertis.
A leur arrivée, les enfant doivent se présenter à l'adjoint du directeur, Monsieur Nero. L'homme, à la corpulence impressionnante, les accueille avec dureté et les répartit dans différentes classes. Mais bébé Prunille, trop petite pour étudier, sera reléguée au secrétariat. L'ahurissement est total pour les Baudelaire ! Prunille secrétaire !!! Et pas de rébellion ! sinon les sanctions seront sévères…

« Si vous arrivez en classe après l'heure, ou si Prunille arrive en retard au bureau, vous aurez les mains attachées dans le dos à l'heure du repas ; vous mangerez comme les poules et les canards. Naturellement, Prunille n'aura jamais ni cuillère, ni fourchette, ni couteau, puisqu'elle travaillera dans le bâtiment administratif où elle n'est pas censée entrer (…) Dans le bâtiment sur la gauche, vous avez le réfectoire. les repas y sont servis aux horaires affichés, que je vous conseille de respecter. Une minute de retard et nous vous retirons verres et bols ; les boissons vous sont versées en flaques sur votre plateau. le bâtiment à droite, c'est le grand auditorium – la salle de concert, si vous aimez mieux. J'y donne tous les soirs un récital de violon d'une durée moyenne de cinq à six heures ; obligation absolue d'y assister… »

« Ogrif ? » dit Prunille, traduction : « Peut-on imaginer pire ? »

Monsieur Nero se régale des déconvenues que subissent les pauvres orphelins. Relégués dans un cagibis de taules, avec de la paille pour couchage, ils ne bénéficieront pas des avantages qu'offrent le pensionnat… chambres individuelles, salle de jeux, bibliothèque… Dans leur nouveau logis, ils cohabiteront avec des crabes.
Tant d'infamies éprouvées depuis le décès de leurs parents et là encore une épreuve à endurer ! Peut-on dénicher dans ce marasme une petite satisfaction ? Certes. Ils vont étudier et rencontrer des enfants de leur âge.
Le premier contact avec les élèves se passe au réfectoire. Il y a Carmelita Spats, l'odieuse pimbêche, insupportable, méchante, que l'on déteste immédiatement et toute sa clique de groupies, puis Isadora et Duncan Beauxdraps qui seront pour les Baudelaire de merveilleux amis.
Du côté enseignant, les professeurs Romora et Alose se partagent l'inintelligence et une cruelle sévérité. Puis, bien vite, apparaît Monsieur Gengis, le professeur de sport ; longues jambes osseuses, turban et regard… impitoyable.
La surprise n'est plus de mise, le comte Olaf a habitué Violette, Klaus et Prunille à ses apparitions !
Monsieur Nero est charmé par Monsieur Gengis qui loue son talent de violoniste dans des phrases dithyrambiques.
Il sera difficile aux orphelins de dénoncer l'usurpateur… même avec la précieuse assistance de Duncan et Isadora.
Cinq contre un… et le match sera serré.

Pour une fois, mon avis sera un peu plus élogieux. Des personnages entrent dans les histoires, cassant l'ambiance close des trois premiers épisodes. Dans le cinquième, j'ai eu plaisir à lire les péripéties au pensionnat. On retrouve le schéma habituel, des adultes peu crédibles, l'arrivée du comte Olaf grimé et costumé, la résignation des enfants face au déni et à l'immaturité des grandes personnes, la démystification, la fuite du perfide Olaf… mais le petit plus que j'ai apprécié cette fois-ci, est l'arrivée des deux enfants Beauxdraps qui s'allient aux Baudelaire pour contrer les fourberies du cousin dégingandé, tatoué, à l'unique sourcil… Olaf.
Lecture bien sympathique pour ces deux livres qui m'incitent à poursuivre les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire.
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J'ai adoré ce tome grâce à l'arrivée des deux triplés. J'aime beaucoup ces nouveaux personnages et la fraîcheur qu'ils apportent à la série.
Le lieux de l'histoire m'a aussi plu : on retourne à l'école ! Un établissement qui se révélera impitoyable pour nos trois héros.
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[...] J'ai adoré ce tome, le contexte de pensionnat avec le stéréotype du directeur tyrannique et obsédé par la musique (qui est d'ailleurs un piètre violoniste) et celui de la peste de service du collège. J'ai envie de répéter ENFIN une situation d'enfants (le pensionnat) pour des enfants. Dommage que ce ne soit qu'un étape de leurs péripéties…
Lien : http://mespetitsbouquins.wor..
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Malgré l'entrée des Triplés Beauxdraps (qui ne sont plus que 2), j'ai quand même eu l'impression de tourner en rond (à l'instar des Orphelins Beaudelaire dans la cour du collège).

On progresse un peu dans la récolte d'informations, mais cela reste du compte-goutte.

Le collège est bien rendu, sans doute conforme à ce que peuvent en penser moult adolescents, dans leurs cauchemars les plus sombres. le Comte Olaf fidèle à son habitude est cruel et délectable à souhait.
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