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Critique de Luneblanche
Expliquer cette maladie psychiatrique qu'est la maniaco-dépression n'est pas une mince affaire tant le diagnostic est difficile à poser. Est-elle génétique, biologique ou psychologique ? Sans un éclairage de professionnels, difficile de la comprendre. Quelle intelligence de la part des auteurs, d'avoir agrémenter leur discours d'un cas fictif prénommé Pierre. Leurs connaissances mises à la portée du grand public conduit à l'empathie et à l'accompagnement plutôt qu'à la stigmatisation.
Ils soulèvent la difficulté du malade en phase maniaque de se reconnaître malade et en phase dépressive de ne pas sombrer. C'est extrêmement touchant.
Ils abordent les différents traitements allant de la médicamentation, (antidépresseurs et thymorégulateurs), à la psychothérapie jusqu'à l'hospitalisation. C'est poignant mais salutaire.
Ils évoquent la place du conjoint malade, l'impact de l'entente conjugale sur la maladie et les possibles rechutes. C'est désarmant.
J'ai beaucoup appris et suis ressortie de cette lecture bouleversée. Et pourtant, j'y ai lu de l'espoir tant la combativité du malade mais aussi du soignant est présente. Je ne lis que très rarement des livres de vulgarisation scientifique, je préfère le roman mais quand je fais la démarche, il faut reconnaître que cela m'intéresse et que j'apprends toujours.
Ils soulèvent la difficulté du malade en phase maniaque de se reconnaître malade et en phase dépressive de ne pas sombrer. C'est extrêmement touchant.
Ils abordent les différents traitements allant de la médicamentation, (antidépresseurs et thymorégulateurs), à la psychothérapie jusqu'à l'hospitalisation. C'est poignant mais salutaire.
Ils évoquent la place du conjoint malade, l'impact de l'entente conjugale sur la maladie et les possibles rechutes. C'est désarmant.
J'ai beaucoup appris et suis ressortie de cette lecture bouleversée. Et pourtant, j'y ai lu de l'espoir tant la combativité du malade mais aussi du soignant est présente. Je ne lis que très rarement des livres de vulgarisation scientifique, je préfère le roman mais quand je fais la démarche, il faut reconnaître que cela m'intéresse et que j'apprends toujours.
