>
Critique de enquetedelecture
Un (très) gros roman, publié en 2011, avec des sorcières, des vampires et des démons, une histoire d'amour entre une sorcière et un vampire et un vieux manuscrit dont tout le monde veut s'emparer.
Avant d'ouvrir ce livre, on ne peut s'empêcher de penser à la saga "Twilight" dont le premier tome est sorti en 2005. Et puis, c'est le cas de le dire, la magie opère. Hormis la relation amoureuse entre Diana, la sorcière, et Matthew, le vampire, l'histoire n'a rien de commun avec celle des romans de Stephenie Meyer. Je trouve que "Le livre perdu des sortilèges" est bien meilleur. On entre dans un récit foisonnant de personnages au service d'une intrigue excellemment documentée. le début est relativement lent mais on sent que c'est nécessaire pour que le lecteur s'empare de l'histoire.
Ce n'est pas mon genre de lecture habituel et je suis contente de cette découverte. Je ne me suis pas ennuyée, malgré les 800 pages, parce que l'histoire se bonifie au fil de la lecture avec l'arrivée de différents protagonistes et des rebondissements très intéressants. J'ai apprécié aussi que Diana, l'héroïne, soit une femme intelligente, cultivée et que son histoire d'amour ne sombre pas dans la mièvrerie dégoulinante même si, dans son attitude envers elle dont il amoureux, Matthew est parfois too much (mais c'est certainement parce qu'il est très vieux, il ne sait pas que les hommes ont changés !).
Mon personnage préféré reste la maison des tantes de Diana. Une maison qui a sa volonté propre, ajoute des pièces quand des invités arrivent, décide qui peut entrer chez elle ou fait apparaître les documents dont ses occupants ont besoin. Je veux la même !
Avant d'ouvrir ce livre, on ne peut s'empêcher de penser à la saga "Twilight" dont le premier tome est sorti en 2005. Et puis, c'est le cas de le dire, la magie opère. Hormis la relation amoureuse entre Diana, la sorcière, et Matthew, le vampire, l'histoire n'a rien de commun avec celle des romans de Stephenie Meyer. Je trouve que "Le livre perdu des sortilèges" est bien meilleur. On entre dans un récit foisonnant de personnages au service d'une intrigue excellemment documentée. le début est relativement lent mais on sent que c'est nécessaire pour que le lecteur s'empare de l'histoire.
Ce n'est pas mon genre de lecture habituel et je suis contente de cette découverte. Je ne me suis pas ennuyée, malgré les 800 pages, parce que l'histoire se bonifie au fil de la lecture avec l'arrivée de différents protagonistes et des rebondissements très intéressants. J'ai apprécié aussi que Diana, l'héroïne, soit une femme intelligente, cultivée et que son histoire d'amour ne sombre pas dans la mièvrerie dégoulinante même si, dans son attitude envers elle dont il amoureux, Matthew est parfois too much (mais c'est certainement parce qu'il est très vieux, il ne sait pas que les hommes ont changés !).
Mon personnage préféré reste la maison des tantes de Diana. Une maison qui a sa volonté propre, ajoute des pièces quand des invités arrivent, décide qui peut entrer chez elle ou fait apparaître les documents dont ses occupants ont besoin. Je veux la même !
