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Critique de fnitter
2nd tome d'une série assez ancienne (début 2000, mais pas précurseure du genre).
Sookie est désormais plus ou moins intégrée et doit prêter ses talents à la communauté des vampires qui, depuis leur coming out, évitent les séances de tortures pour obtenir la vérité. On avait les noirs et le KKK, on a maintenant les vampires et la Confrérie.
Presque 3 ans après le premier tome, j'attaque le second. La magie des découvertes s'en est allée. Difficile de se replonger dans l'atmosphère de la série TV qui avait fait tout l'intérêt de cette dernière et donc déclenché mon envie de lecture. Le style, bien qu'adulte est assez (trop?) simple. Mais enfin, si on le compare à d'autres productions du genre (je suis en train de lire le premier tome de Chasseuse de la nuit de Frost) il reste acceptable (voire éligible pour le prix Nobel de littérature). Pas d'éclats, pas de frissons, mais étrangement pas une envie de fuir cette lecture non plus.
On ne retrouve pas la mièvrerie en vogue dans la littérature YA du moment et c'est un plus.
Si j'osais une comparaison culinaire, je dirais que je viens de manger un « nuggets frites de fast food». C'est pas mauvais, ça cale (mais on a faim 2 heures après) on a un peu honte de s'être laissé aller, mais on sait qu'on y retournera quand même.
Sookie est désormais plus ou moins intégrée et doit prêter ses talents à la communauté des vampires qui, depuis leur coming out, évitent les séances de tortures pour obtenir la vérité. On avait les noirs et le KKK, on a maintenant les vampires et la Confrérie.
Presque 3 ans après le premier tome, j'attaque le second. La magie des découvertes s'en est allée. Difficile de se replonger dans l'atmosphère de la série TV qui avait fait tout l'intérêt de cette dernière et donc déclenché mon envie de lecture. Le style, bien qu'adulte est assez (trop?) simple. Mais enfin, si on le compare à d'autres productions du genre (je suis en train de lire le premier tome de Chasseuse de la nuit de Frost) il reste acceptable (voire éligible pour le prix Nobel de littérature). Pas d'éclats, pas de frissons, mais étrangement pas une envie de fuir cette lecture non plus.
On ne retrouve pas la mièvrerie en vogue dans la littérature YA du moment et c'est un plus.
Si j'osais une comparaison culinaire, je dirais que je viens de manger un « nuggets frites de fast food». C'est pas mauvais, ça cale (mais on a faim 2 heures après) on a un peu honte de s'être laissé aller, mais on sait qu'on y retournera quand même.
