Une critique en hommage à
Vaclav Havel qui s'est éteint dans la nuit.
Je vous engage à découvrir l'auteur dramatique, amoureux de
Beckett, son théâtre engagé ET ironique (dimension que l'on a souvent tendance à oublier), ironie héritière d'un Kafka, bien sûr.
N'érigeons
pasVaclav Havel en légende, mais transmettons
l'image d'un homme engagé, courageux, capable d'autocritique, initiateur avec ses amis de "La révolution de velours", qui a, à l'heure où chacun commente et critique événements bien à l'abri derrière son écran, payé physiquement de 5 années de prison la fidélité à ses idées.
Pour ma part, si je respecte et ai toujours admiré l'homme politique "à son insu" qu'il était devenu, je chéris particulièrement l'homme de théâtre, lieu de toutes les subversions.
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