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Critique de Elby
Il existe des saga qui nous transportent vers un univers lointain et particulier, vers un monde fichtrement bien construit, qui nous ensorcellent, qui nous retiennent, qui nous comblent à la fois de joie, de satisfaction, et de rêve. le Clan des Otori en est, à mon sens, un très bel exemple.
Dans ce dernier tome, qui est à la fois le premier en ordre chronologique, on retrouve les éléments qui ont su faire chavirer mon petit coeur de lectrice : guerre, traditions, passion, traquenard, honneur, trahison, amour.
La jeunesse de Shigeru, par qui tout à commencé, nous est relatée dans ses moindres détails. Et si le moins qu'on puisse dire, c'est que le Destin s'acharne sur ce pauvre homme, la lumière de l'espoir ne cessera de briller pour lui. Quel personnage ! Quel charisme et quelle patience !
Conquise je fus dès les premières lignes, conquise, je le suis jusqu'à la dernière.
Et si cet opus souffre aussi de quelques longueurs, je reste persuadée que cette lenteur descriptive joue pour la représentation féodale si riche qu'il m'en reste !
Un grand cycle, comme on en rencontre peu.
Dans ce dernier tome, qui est à la fois le premier en ordre chronologique, on retrouve les éléments qui ont su faire chavirer mon petit coeur de lectrice : guerre, traditions, passion, traquenard, honneur, trahison, amour.
La jeunesse de Shigeru, par qui tout à commencé, nous est relatée dans ses moindres détails. Et si le moins qu'on puisse dire, c'est que le Destin s'acharne sur ce pauvre homme, la lumière de l'espoir ne cessera de briller pour lui. Quel personnage ! Quel charisme et quelle patience !
Conquise je fus dès les premières lignes, conquise, je le suis jusqu'à la dernière.
Et si cet opus souffre aussi de quelques longueurs, je reste persuadée que cette lenteur descriptive joue pour la représentation féodale si riche qu'il m'en reste !
Un grand cycle, comme on en rencontre peu.
