Etant une fan inconditionnelle de
la Demoiselle d'Avignon, je me suis précipitée sur cette suite écrite 40 ans après.
Retrouver Koba et François Fonsalette a suffi à me faire passer un bon moment et je n'ai pas boudé mon plaisir.
Bien sûr, ce n'est pas de la grande littérature, et cette suite n'est pas à la hauteur du premier tome, mais ce n'est pas grave, je l'ai encore trouvée trop courte, et si
Frédérique Hébrard et Louis Velle nous faisaient cadeau de nouvelles aventures de
la Demoiselle d'Avignon, je les lirais toujours avec la même tendresse et le sourire aux lèvres.
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