S'inspirant de la légende que nous connaissions déja, la version inuite de cette "Femme phoque" de catherine Gendron chez Didier Jeunesse. Une femme retrouve la peau que son amant a dissmulé afin de la garder près de lui. Vue d'un angle plus européen et raconté cette fois par l'enfant, cette version fantasmagorique de
Nikolaus Heidelbach est dépourvu de toute amertume de fin. Cette alternative est moins sérieuse quant au départ de la mère. L'auteur s'attache d'ailleurs à nous laisser des indices.Il est amusant de remarquer cette maman dans une posture animale discrète qui trahit sa véritable nature. A découvrir pour l'histoire et l'oeuvre surréaliste de Heidelbach.
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