La ballade d'Hester Day est un roman que j'avais eu envie de lire sans cependant accorder trop d'importance à l'histoire et à la présentation de l'auteur
Mercedes Helnwein, fille d'un artiste viennois ayant grandi dans des châteaux en Irlande et en Allemagne. Pourquoi n'ai-je pas lu ces quelques mots avant d'entamer ma lecture ? Il résume à eux seuls le livre.
En relisant la quatrième de couverture, je réalise que celle-ci présente une histoire que je n'ai pas retrouvé dans ma lecture ..
Je ne sais pas trop comment écrire cette chronique, généralement je tente toujours de peser le pour et le contre, le positif et le négatif. Mais ici c'est compliqué.
Car Hester est sans nul doute doute l'un des personnages (avec le héros de la consolante de Gavalda) qui m'aura donné le plus de mal. Car, j'avoue : je n'ai pas compris une seconde de quelle manière j'aurais du appréhender le livre pour que la magie opère. Et j'en ressors très frustrée. Hester est un personnage dont la personnalité n'a soulevé chez moi aucune sympathie, empathie, pitié, compréhension ou regard attendrissant .. non RIEN, sinon parfois de l'énervement ;-)
Hester a 18 ans mais la maturité d'un enfant de huit ans (qui veut un bébé comme on veut un nouveau jouet), à l'égocentrisme démesuré et parfois la réflexion d'un enfant de cinq ans. J'ai aussi détecté une forme de sociopathie sous-jacente inquiétante (les autres, soyons clairs lui, elle s'en fout), et comme le dit si bien, son mari de deux jours, Hester est la personne à la fois la plus "chiante" qui est persuadée que la Terre entière tourne autour de sa petite personne...
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