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Critique de livrement_ka
Alors là je dois dire que je suis et sous le choc et sous le charme de ce livre.
Quel sujet difficile que les violences conjugales....mais il faut tellement en parler pour réussir à déculpabiliser les victimes et surtout les aider à fuir et à se reconstruire.
A chaque chapitre, qui sont courts mais nombreux, le témoignage d'une jeune femme, d'un fils de.......
A l'image de "Je suis Charlie", on a envie de bouger les choses pour ces "Abigaël Baumgartner", ces femmes porcelaines qui deviennent entre les mains de ces hommes des choses, de simples objets.
Toutes sont Abigaël, ces prénom et nom qui permettent de donner une identité à ces femmes qui semblent l'avoir perdue.
Ce recueil de témoignages est présenté sous forme de poèmes, de journaux intimes, de conversations, de monologues......je l'ai lu en une soirée et sincèrement je pense qu'il devrait passer entre toutes les mains.
Le contenu est à la hauteur de la couverture : tout simplement dérangeante mais nécessaire.
L'auteur réussit à faire ressortir toutes nos émotions même les plus enfouies : tristesse, colère, espoir, regrets......
Le plus dur à accepter sont les personnes extérieures aux femmes porcelaines. Et surtout on dit toujours "qu'un vase cassé ne se répare jamais" : même si on parvient à le réparer, il en reste toujours des traces, des séquelles.
Et que dire de cette période difficile de confinement pendant laquelle on ne cesse d'imaginer l'augmentation de ce phénomène en raison de la promiscuité et de l'absence de loisirs. Ce recueil tombe à point nommé. Il faut impérativement qu'il circule entre le le plus grand nombre de mains possibles.
A acheter, à offrir, à donner à mettre dans les boites à livres.........Pour faire bouger les consciences et surtout faire en sorte que les personnes qui ont des doutes agissent...
Un grand merci à l'auteur pour ce livre et pour avoir recueilli ces nombreux témoignages !!
Quel sujet difficile que les violences conjugales....mais il faut tellement en parler pour réussir à déculpabiliser les victimes et surtout les aider à fuir et à se reconstruire.
A chaque chapitre, qui sont courts mais nombreux, le témoignage d'une jeune femme, d'un fils de.......
A l'image de "Je suis Charlie", on a envie de bouger les choses pour ces "Abigaël Baumgartner", ces femmes porcelaines qui deviennent entre les mains de ces hommes des choses, de simples objets.
Toutes sont Abigaël, ces prénom et nom qui permettent de donner une identité à ces femmes qui semblent l'avoir perdue.
Ce recueil de témoignages est présenté sous forme de poèmes, de journaux intimes, de conversations, de monologues......je l'ai lu en une soirée et sincèrement je pense qu'il devrait passer entre toutes les mains.
Le contenu est à la hauteur de la couverture : tout simplement dérangeante mais nécessaire.
L'auteur réussit à faire ressortir toutes nos émotions même les plus enfouies : tristesse, colère, espoir, regrets......
Le plus dur à accepter sont les personnes extérieures aux femmes porcelaines. Et surtout on dit toujours "qu'un vase cassé ne se répare jamais" : même si on parvient à le réparer, il en reste toujours des traces, des séquelles.
Et que dire de cette période difficile de confinement pendant laquelle on ne cesse d'imaginer l'augmentation de ce phénomène en raison de la promiscuité et de l'absence de loisirs. Ce recueil tombe à point nommé. Il faut impérativement qu'il circule entre le le plus grand nombre de mains possibles.
A acheter, à offrir, à donner à mettre dans les boites à livres.........Pour faire bouger les consciences et surtout faire en sorte que les personnes qui ont des doutes agissent...
Un grand merci à l'auteur pour ce livre et pour avoir recueilli ces nombreux témoignages !!
