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Critique de HORUSFONCK
Ce fut un plaisir, pour le tintinophile que je suis, de lire cet Alph-art enfin achevé.
C'est Bob de Moor, le plus fidèle collaborateur d' Hergé, qui eut dû finaliser la dernière aventure inachevée de Tintin. Il y avait de la matière, et de quoi livrer cet ultime épisode.
Plusieurs graphistes de la bande dessinée, se sont attelés à ce que l'Alph-art ne reste pas une esquisse d'album... Et c'est Yves Rodier qui a présenté le travail le plus achevé. C'est lui qui s'est collé à ce boulot un peu casse-gueule.
Tintin et l' Alph-art, d' Yves Rodier, est à la fois un hommage et un pastiche. Certes, la fin du récit ne manque pas d'imperfections ou d'invraisemblances
... Mais le dessinateur de Simon Nian, a livré un travail honnête dans les rituelles 62 pages en couleurs de la série! Ce n'est tout de même pas rien, et même beaucoup. Rodier amène même quelques touches de modernisme bienvenues, dans cet Alph-Art.
C'est Bob de Moor, le plus fidèle collaborateur d' Hergé, qui eut dû finaliser la dernière aventure inachevée de Tintin. Il y avait de la matière, et de quoi livrer cet ultime épisode.
Plusieurs graphistes de la bande dessinée, se sont attelés à ce que l'Alph-art ne reste pas une esquisse d'album... Et c'est Yves Rodier qui a présenté le travail le plus achevé. C'est lui qui s'est collé à ce boulot un peu casse-gueule.
Tintin et l' Alph-art, d' Yves Rodier, est à la fois un hommage et un pastiche. Certes, la fin du récit ne manque pas d'imperfections ou d'invraisemblances
... Mais le dessinateur de Simon Nian, a livré un travail honnête dans les rituelles 62 pages en couleurs de la série! Ce n'est tout de même pas rien, et même beaucoup. Rodier amène même quelques touches de modernisme bienvenues, dans cet Alph-Art.
