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Critique de bdelhausse
Hermann nous a habitué à être exigeants en tant que lecteurs... le dessin réaliste à la limite de la perfection. Un scénario qu'envieraient les plus productifs des scénaristes d'Hollywood... le lecteur ne se couche pas à moins que cela.
Et pourtant, il y a parfois des baisses de régime... Et ce tome 30 en est une.
On retrouve le tandem à moto (je l'aime bien celle-là), à la poursuite des diamants dans les eaux verdâtres d'un centre de ville inondé et infesté de crocodiles.
Pour corser le tout, Hermann saupoudre cette joyeuse chasse au trésor d'une course de vitesse en mettant, non pas une, mais deux équipes sur le coup en plus de Jeremiah et de Kurdy.
Evidemment, cher à ses habitudes, Hermann farcit le bâtiment où sont cachés les diamants (dans les parties inondées du bâtiment, bien sûr) d'êtres bizarres, à l'instinct grégaire, à la peau craquelée et verdâtre et au vocabulaire très réduit (même Kurdy passe pour le Pic de la Mirandole à côté). Comme cela a déjà été le cas dans des tomes précédents, la gentillesse (de Kurdy, dans ce cas) à l'égard de ces créatures va venir à point nommé.
Le tome se conclut sur un double pied-de-nez, cher à Hermann, où Kurdy est bien le roublard que l'on aime...
Rien qui révolutionne la série, mais cela se lit avec un plaisir non dissimulé.
Et pourtant, il y a parfois des baisses de régime... Et ce tome 30 en est une.
On retrouve le tandem à moto (je l'aime bien celle-là), à la poursuite des diamants dans les eaux verdâtres d'un centre de ville inondé et infesté de crocodiles.
Pour corser le tout, Hermann saupoudre cette joyeuse chasse au trésor d'une course de vitesse en mettant, non pas une, mais deux équipes sur le coup en plus de Jeremiah et de Kurdy.
Evidemment, cher à ses habitudes, Hermann farcit le bâtiment où sont cachés les diamants (dans les parties inondées du bâtiment, bien sûr) d'êtres bizarres, à l'instinct grégaire, à la peau craquelée et verdâtre et au vocabulaire très réduit (même Kurdy passe pour le Pic de la Mirandole à côté). Comme cela a déjà été le cas dans des tomes précédents, la gentillesse (de Kurdy, dans ce cas) à l'égard de ces créatures va venir à point nommé.
Le tome se conclut sur un double pied-de-nez, cher à Hermann, où Kurdy est bien le roublard que l'on aime...
Rien qui révolutionne la série, mais cela se lit avec un plaisir non dissimulé.
