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Critique de Yvan_T
Pour cette trentième aventure périlleuse, Kurdy et Jeremiah se lancent dans une chasse au trésor, à la recherche d'un sac rempli de diamants.
Comme décor, le célèbre duo se retrouve cette fois dans une cité à moitié engloutie et infestée d'alligators. La présence de créatures mutantes vient encore accentuer l'univers post-apocalyptique qui fait la force de cette série. Un monde en ruines, où règne souvent la loi du plus fort et qui est parcouru de long en large par nos deux têtes brulées.
La principale surprise vient cependant du graphisme, où Hermann délaisse la colorisation directe pour revenir à l'encrage classique. C'est assez surprenant après onze tomes en couleurs directes, mais, malgré ce changement, les planches continuent à entretenir cette ambiance mystérieuse et oppressante. Hermann semble également avoir trouvé une solution pour les personnages féminins, qu'il a toujours eu du mal à représenter convenablement. La première femme de l'histoire se fait en effet bouffer par un alligator avant d'être convenablement aperçue, tandis que les autres sont mutées en monstres sauriens. Bien vu !
Si le graphisme parvient à surprendre, le scénario demeure par contre sans surprise. Les dialogues entre nos deux têtes brûlées sont cependant toujours aussi savoureux et rythment parfaitement ce nouveau récit divertissant. Malgré une intrigue assez classique, l'ennui n'est donc jamais au rendez-vous.
Comme décor, le célèbre duo se retrouve cette fois dans une cité à moitié engloutie et infestée d'alligators. La présence de créatures mutantes vient encore accentuer l'univers post-apocalyptique qui fait la force de cette série. Un monde en ruines, où règne souvent la loi du plus fort et qui est parcouru de long en large par nos deux têtes brulées.
La principale surprise vient cependant du graphisme, où Hermann délaisse la colorisation directe pour revenir à l'encrage classique. C'est assez surprenant après onze tomes en couleurs directes, mais, malgré ce changement, les planches continuent à entretenir cette ambiance mystérieuse et oppressante. Hermann semble également avoir trouvé une solution pour les personnages féminins, qu'il a toujours eu du mal à représenter convenablement. La première femme de l'histoire se fait en effet bouffer par un alligator avant d'être convenablement aperçue, tandis que les autres sont mutées en monstres sauriens. Bien vu !
Si le graphisme parvient à surprendre, le scénario demeure par contre sans surprise. Les dialogues entre nos deux têtes brûlées sont cependant toujours aussi savoureux et rythment parfaitement ce nouveau récit divertissant. Malgré une intrigue assez classique, l'ennui n'est donc jamais au rendez-vous.
