Rien de bien nouveau dans cette vibrante tirade contre l'indifférence et l'injustice de notre monde.
Pourquoi ce grand coup médiatique porté comme un coup d'épée dans l'eau ? A-t-on vraiment besoin de nous rappeler que tout va mal ? A-t-on besoin de nous prendre par la main pour nous guider, nous insiter à penser, à nous indigner, à ne pas nous soumettre à nos gouvernements sans conscience, comme dirait
Albert Camus ?
Personnellement, ce fascicule m'a laissé un arrière-goût indéfinissable de malaise.
Stéphane Hessel assure que le terrorisme est inacceptable. Certes mais l'auteur n'en excuse pas moins, un peu facilement à mon goût, cette forme de violence aveugle en prétextant l'exaspération des Gazaouis. J'admets que la situation d'isolement de ces pauvres gens soit intolérable. Toutefois, le terrorisme ne l'est pas moins.
LE TERRORISME EST INEXCUSABLE ! Alors, la complaisance et la tièdeur de
Stéphane Hessel ont pour moi quelque chose de choquant, même s'il se défend d'adhérer à cette forme de violence. Voilà mon ressenti.
Commenter  J’apprécie         260