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Critique de gwendal
Second tome sur 4, contenant un épisode de House of X et deux de Power of ten. Je vais éviter au maximum les spoilers.
House of X : révélations sur un des personnage que j'avais appris à aimer quand je lisais beaucoup de comics et qui là prend une toute autre ampleur, Moira MacTaggert. C'était déjà un personnage complexe, mais Mister Hickman y rajoute une couche et franchement j'adore. Comme à son habitude semble t'il, il y a beaucoup de texte et il ajoute aussi beaucoup de métatexte, certains lui donneront le qualificatif de verbeux j'en suis sûr, pour moi c'est un régal. Ça me plonge encore plus profondément dans le récit à la recherche d'indices ou pour en savourer la profondeur. L'épisode se termine sur une poignée de main qui va changer le destin des mutants.
Power of ten : Toujours du métatexte, en partie en liaison avec celui de House of X, pour le reste pour donner de l'épaisseur au récit. Comme dans l'épisode du premier tome, nous explorons ici les diverses lignes temporelles concernant les mutants, An 10, 100 et 1000. L'histoire et ses ramifications se complexifient, difficile pour le moment de voir le dessein global de l'intrigue, même si certaines pistes commencent à poindre.
Les dessins sont toujours d'un excellent niveau.
Pour mon retour dans le comics je prends vraiment mon pied et si la qualité continue comme ça, je vais faire un bon bout de route avec les X et Jonathan Hickman.
House of X : révélations sur un des personnage que j'avais appris à aimer quand je lisais beaucoup de comics et qui là prend une toute autre ampleur, Moira MacTaggert. C'était déjà un personnage complexe, mais Mister Hickman y rajoute une couche et franchement j'adore. Comme à son habitude semble t'il, il y a beaucoup de texte et il ajoute aussi beaucoup de métatexte, certains lui donneront le qualificatif de verbeux j'en suis sûr, pour moi c'est un régal. Ça me plonge encore plus profondément dans le récit à la recherche d'indices ou pour en savourer la profondeur. L'épisode se termine sur une poignée de main qui va changer le destin des mutants.
Power of ten : Toujours du métatexte, en partie en liaison avec celui de House of X, pour le reste pour donner de l'épaisseur au récit. Comme dans l'épisode du premier tome, nous explorons ici les diverses lignes temporelles concernant les mutants, An 10, 100 et 1000. L'histoire et ses ramifications se complexifient, difficile pour le moment de voir le dessein global de l'intrigue, même si certaines pistes commencent à poindre.
Les dessins sont toujours d'un excellent niveau.
Pour mon retour dans le comics je prends vraiment mon pied et si la qualité continue comme ça, je vais faire un bon bout de route avec les X et Jonathan Hickman.
