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Critique de Stoffia


Secret Wars (2015) est le dernier gros événement crossover Marvel qui m'a vraiment intéressé. Il reprend le titre du premier événement du genre Marvel, de 1984.

Ici, on fait en grand. C'est un Soft reboot, le premier (et le seul) chez Marvel (alors que DC en fait un chaque trois ou quatre ans). En tout cas, c'est ce qui avait été annoncé, même si l'on doit admettre que peu de choses ont été changées et que Marvel a pu reprendre la plupart de ses titres où elle les avait laissés après l'événement.

Les principaux changements sont les suivants : Après Secret Wars, le Ultimate Universe n'existe plus (il battait de l'aile), mais ses personnages vedettes sont transférés dans l'univers principal. Spider-Man Miles Morales fait son entrée dans l'univers original et Nick Fury Samuel L. Jackson remplace le vieux Nick Fury Marvel (qui lui remplace le Watcher depuis l'excellence Original Sin). Ah, et les Fantastic Four disparaîtront pendant quelques années, ce qui leur fera le plus grand bien.

Alors l'histoire, c'est quoi?

Le multivers menace de s'écrouler, malade. Les différents univers disparaissent les uns après les autres. Dr Doom a enfin sa chance de monter sa supériorité sur Reed Richards et il la prend. Il devient omnipotent, sauve une petite parcelle de chaque univers et crée un univers composite pour abriter tout les survivants. Il en profite aussi pour réécrire l'univers pour que Susan Storm l'aime lui et pas Reed Richards. le coquin.

L'histoire est donc celle des héros, certains défendant Doom, d'autres voulant le renverser. Ils s'affronteront donc jusqu'au boss final, d'où nous connaîtrons le sort ultime de l'univers.

(Tout cela était aussi un prétexte pour faire un nombre ridicule de comics à côté, qui explorent cet univers composite, où se côtoient l'Ultimate Universe, l'univers du Old Man Logan, de Zombie Marvel et tout ça. $$$)
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