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Critique de Darkhorse
C'est le nom de Joe Hill qui m'a attiré et je dois dire que je n'ai pas été déçu par le scénario du fils de Stephen King.
Les enfants de la famille Locke et leur mère déménagent à Keyhouse, la grande bâtisse de leur oncle, après un événement traumatisant. La maison va peu à peu révéler très mystérieuse tandis que l'on va en apprendre plus sur l'intrigue au fil du récit. Si la mère est un peu en retrait pour l'instant, les enfants sont plus développés et leur traumatisme nous est raconté sans fard.
Un peu classique tout ça mais c'est tout de même raconté avec talent.
Ce n'est qu'un premier tome qui pose les bases, mais la suite promet d'être passionnante notamment grâce à d'étranges clés semblant posséder une capacité propre.
Le dessin de Gabriel Rodriguez est agréable sans être excellent non plus. Néanmoins, différents effets de cadrage dynamisent le récit.
Les enfants de la famille Locke et leur mère déménagent à Keyhouse, la grande bâtisse de leur oncle, après un événement traumatisant. La maison va peu à peu révéler très mystérieuse tandis que l'on va en apprendre plus sur l'intrigue au fil du récit. Si la mère est un peu en retrait pour l'instant, les enfants sont plus développés et leur traumatisme nous est raconté sans fard.
Un peu classique tout ça mais c'est tout de même raconté avec talent.
Ce n'est qu'un premier tome qui pose les bases, mais la suite promet d'être passionnante notamment grâce à d'étranges clés semblant posséder une capacité propre.
Le dessin de Gabriel Rodriguez est agréable sans être excellent non plus. Néanmoins, différents effets de cadrage dynamisent le récit.
