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Que dire que je n'ai pas déjà dit... c'est juste une tuerie , une perle, une bombe dans le monde du comic's !!

Le scénario est a mourir tellement tout est ficelé , prenant et palpitant. le fantastique y est purement génial. Les personnages sont attachants et parfois même les méchants.

Les graphismes sont géniaux, plein de détails et de finesses, ce qui complète de façon magique le scénario. J'ai aussi tout particulièrement apprécié l'évolution des personnages graphiquement surtout le fils ainé de la famille Locke.

De plus le gros clin d'oeil fait a Stephen King est une pure merveille... personne ne peut le louper .

Je tenais a remercier plus que chaleureusement tour ceux qui m'ont donnée envie de lire Locke & Key... (et surtout Do).. parce que c'est un vrai coup de coeur.

J'espère que joe Hill et Gabriel Rodriguez collaboreront encore ensemble.. parce oui c'est un sans faute pour moi.
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Ça y est nous y sommes. Non je ne parle pas du réveillon de Noël, enfin si techniquement c'est le cas je vous l'accorde mais je pensais plutôt à l'apothéose de la saga Locke & Key car oui, comme dit l'adage, toutes les bonnes choses ont une fin, hélas. Mais d'un autre côté, conclure une fantastique épopée de la plus somptueuse des manières n'est-ce pas là le plus beau cadeau que puisse offrir le duo d'artistes à ses lecteurs ?

Pour l'ultime opus de son cycle fantasmagorique, Joe Hill a dégainé l'artillerie lourde avec au menu de l'action, de la tension bien palpable, du sang et bien entendu des larmes afin de susciter chez le lecteur au coeur de guimauve que nous sommes (ne me jugez pas je vous en prie) un véritable ascenseur émotionnel. de la nervosité à la crainte en passant par l'indignation et l'inévitable affliction, ce dénouement ne manquera pas de vous ébranler.

Point de fioriture ni d'épilogue volubile ici, l'auteur opte pour un magistral alliage d'émotions brutes et massives avec une céleste réflexion philosophique et métaphysique afin d'inciser à vif les sentiments du lecteur. Qu'on se le dise, les représentations de la mort et de l'esprit n'ont presque jamais été aussi radieuses, rassurantes et poétiques.

Gabriel Rodriguez, en plus de bénéficier des plus vigoureuses inspirations graphiques qu'il s'agisse de mise en scène ou de lisibilité de l'action, parvient à insuffler une sensibilité remarquable aux personnages, si bien que l'harmonie entre le dessinateur et son compère semble ne jamais avoir été aussi puissante.

Alors comment résumer cette aventure extraordinaire au coeur d'un univers magique régi par des clés dotées de pouvoirs incommensurables ? Il s'agit avant tout d'une épopée onirique qui n'a pour but que celui d'enchanter votre imaginaire. Mais si on y regarde de plus près, Locke & Key s'avère être une déclaration d'amour, aux êtres chéris, au pardon, à la vie, mais également à la mort qui peut, derrière son lugubre manteau noir, se révéler grâcieuse. Bon sang je dois (encore) aller me moucher.

Joyeux Noël à tous.
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Alpha et Oméga est peut-être le meilleur album de cette fantastique série qu'est Locke & Key. Ceci constitue sans aucun doute un exploit et ce pour deux raisons : les autres tomes mettaient déjà la barre très haut (j'ai particulièrement aimé les tomes 4 et 5). Par ailleurs, combien de série finissent par le meilleur ? N'est-ce pas souvent la déception, à des degrés divers, qui prime ? Car ce tome 6 constitue, en effet, la conclusion d'une saga qui demeurera, à jamais, dans les hautes sphères du genre "fantastique".

Après les révélations, ancrées dans le passé, du tome 5, qui retraçait les origines et l'histoire des fameuses clés, j'attendais avec impatience la confrontation finale entre Dodge et la famille Locke. le moins que l'on puisse dire c'est que je n'ai pas été déçu. La grande force de cet album est de nous offrir un concentré d'émotion, le lecteur éprouvant tour à tour, mélancolie, peur, tristesse, effroi, joie (parfois). Pour être honnête, on en ressort quelque peu lessivé, avec le sentiment qu'on tient là un chef-d'oeuvre. On sent que Joe Hill avait à coeur de terminer comme il se doit cette série qui, j'en suis sur, lui tenait aux tripes. La pointe de mélancolie, particulièrement sensible au début, le fait de placer l'histoire dans un contexte de bal de fin d'année, le petit clin d'oeil au paternel (pas bien dur à trouver) : oui, Joe Hill a mis beaucoup de lui dans cette bd et la terminer n'a pas du être aussi simple que ça. Il a même réussi à me surprendre quant aux motivations de Dodge, englué que j'étais dans mes certitudes prétentieuses.

Décidément, merci Monsieur Hill, vous n'avez, sans aucun doute, plus rien à prouver à votre père, peut-être même pourriez vous lui enseigner quelques trucs, qui sait !
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Et voilà, cette fois c'est la fin. Après cinq tomes tous plus passionnants et surprenants les uns que les autres, la série « Locke & Key » tire sa révérence avec « Alpha & Oméga » qui met donc un terme aux aventures de la famille Locke à Lovecraft. On retrouve ainsi pour une dernière aventure Ty, Kinsey, Bode et les autres, tous persuadés d'être parvenus à déjouer les manigances de leur ennemi et d'être venu à bout du manoir de Keyhouse et de sa magie. Ils vont toutefois vite se rendre compte que c'est loin d'être le cas... Autant l'avouez d'emblée, ce dernier album est en ce qui me concerne le meilleur de la série car il concentre en une centaine de pages ce que Joe Hill et Gabriel Rodriguez ont de plus talentueux. Rire, pleurs, horreur, soulagement... : le lecteur passe par toute une palette d'émotion qui lui fera à la fois remercier les deux auteurs pour avoir écrit une série aussi passionnante, tout en les maudissant pour leur sadisme à l'encontre de leurs personnages. Tous les fils de l'intrigue méticuleusement tissés tout au long du récit se réunissent donc enfin pour nous offrir un final explosif qui ne risquera pas de décevoir les fans de la série.

Joe Hill joue encore une fois avec les nerfs de ses lecteurs qui assistent avec horreur aux tourments subis par l'ensemble des personnages, qui n'auront jamais été aussi touchants et attachants. Si les tomes précédents s'étaient déjà montrés particulièrement intenses en matière d'action et d'émotion, ce sixième et dernier album réussit l'exploit de se faire encore plus violent, plus rythmé, et surtout plus poignant. Des scènes plus bouleversantes les unes que les autres s'enchaînent jusqu'à une apothéose grandiose qui laissera le lecteur KO, ému tant par les épreuves traversées par Ty, Kinsey, Bode et compagnie, que par la perspective de les quitter définitivement. Un sans faute également pour tout ce qui touche à l'aspect fantastique ou horreur, deux genres que les créateurs de la série maîtrisent maintenant à la perfection. Un mot, pour finir, concernant les graphismes où l'on retrouve un Gabriel Rodriguez au meilleur de sa forme : des décors impressionnants et très immersifs, des personnages expressifs et aux traits travaillés, un grand sens de la mise en scène..., bref les deux artistes se complètent à merveille.

Avec « Alpha et Oméga » Joe Hill et Gabriel Rodriguez nous offrent un final grandiose qui met un terme à ce qui constitue sans doute aujourd'hui l'une des meilleures (si ce n'est LA meilleure) série de comics consacrée au fantastique. A ceux qui n'auraient pas encore fait connaissance avec la famille Locke et leur manoir de Lovecraft, je n'aurais qu'un conseil : courez-y, et vite !
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Que dire ? Si ce n'est : Wouaouh !
Ce tome 6 clôt magistralement cette série géniale !
Les personnages ont pris tant d'ampleur en 6 tomes et sont devenus tous très attachants, même les plus pénibles ! Ce dernier tome leur rend à tous un bel hommage et un beau dernier rôle à incarner ! Qu'il est dur de les quitter !
Je vais certainement m'intéresser à la série télévisée en espérant qu'elle soit à la hauteur de cette incroyable création de Joe Hill et Gabriel Rodriguez.
Il me reste également le petit septième qui arrive comme une cerise sur le gâteau.
Tant mieux car Lovecraft me manque déjà.
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Et voilà ,dernière tome de cette magnifique BD ...et encore une fois ,on est pas déçu ! Dodge,dans le corps de Bode ,dévoile enfin son jeu alors que personne ne se doute de rien dans la maison ! Il a toute les clés en main et il s'apprête à ouvrir la porte Oméga aux démons. La bataille s'engage ,entre alliés inattendus et retournements de situation ,qui va s'en sortir ?
Cette série m'a totalement conquise ,les dessins sont magnifiques ,les dialogues savoureux et l'intrigue tient la route jusqu'au final assez spectaculaire .
Un vrai coup de coeur !
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"La mort n'est pas la fin de la vie tu sais. 
Ton corps est une serrure. La mort en est la clé. La clé tourne et te voilà libre d'aller où tu veux. de te dédoubler. de te fondre dans le néant ou dans le murmure de l'univers." 

Avis de tempête en cette fin d'année : un vent à décorner les boeufs souffle, des trombes d'eau s'abattent sur la maison... Un temps à ne pas mettre le nez dehors, à se blottir dans son fauteuil et l'ambiance parfaite pour se plonger dans une histoire fantastique à vous couper le souffle et vous glacer le sang.

Imaginez un lieu mystérieux : Keyhouse, la demeure familiale de la famille Locke depuis le 18ème siècle, dans une petite ville du nom de Lovecraft. Une demeure pleine de mystère où se cachent des clés étranges qui n'ouvrent pas simplement des portes... C'est là qu'atterrissent Nina et ses enfants, Tyler, Kinsely et Bode Locke après la mort de leur père, Rendell, assassiné par un fou dangereux. Les trois enfants, chacun à leur manière, tentent de se reconstruire après l'enfer qu'ils ont vécu. Chacun devra faire face à ses propres démons intérieurs et lutter contre un écho venu du passé : Dodge.

Je lis beaucoup de BD mais très peu de comics. Je peux néanmoins dire que « Locke & Key » est une série exceptionnelle de six tomes que j'ai lu en une fois. Et très vite, il m'est apparu que critiquer chacun tome indépendamment conduirait forcément à dévoiler trop d'éléments de l'intrigue et à gâcher la découverte des potentiels futurs lecteurs. J'ai donc opté pour une critique globale de la série.

Je ne connaissais pas Joe Hill, j'ai découvert en lisant « Locke & Key » qui se cachait derrière ce nom de plume et, sans le moindre doute, il n'a rien a envier au grand maître du fantastique qu'est son père. L'intrigue est magnifiquement ficelée, pleine de rebondissements. On baigne en plein dans le fantastique horreur, avec des démons, des êtres aux pouvoir surnaturels. C'est noir, cruel, angoissant. La peur est bien là, tapie dans l'ombre, à chaque page. Mais c'est pourtant tellement réaliste ! Il y a de l'humour (grinçant par moment), de nombreuses références musicales et littéraires et le thème, symbolisé par les clés, est profondément humain : à l'image des enfants Locke, nous devons tous vivre avec des événements que nous voudrions pouvoir modifier, des peurs, des regrets, des blessures à l'âme, qu'il nous faut affronter pour ne pas qu'elles nous dévorent et pour grandir. Tandis que d'autres souhaitent la gloire, la grandeur, quel qu'en soit le prix, d'autres veulent juste se reconstruire. le suspens est maintenu du début à la fin et, plus j'avançais dans ma lecture, plus je me retrouvais face à un cruel dilemme : je n'avais aucune envie de lâcher la lecture, j'étais tellement tenue en haleine que je voulais à tout prix connaître le dénouement et le sort final de nos héros ; mais, en même temps, je voulais faire durer la plaisir de la lecture car je savais qu'une fois arrivée à la fin du sixième volume, ce serait fini... Et quel final ! Tout à fait à la hauteur de l'ensemble de la série !

Pour soutenir cette intrigue magistrale, on peut compter sur le talent de Gabriel Rodriguez, dont le coup de crayon accompagne à la perfection le scénario. le graphisme de cette série de comics est remarquable, tant au niveau des dessins que du découpage des planches. C'est sombre, violent, dynamique et hyper réaliste (oui oui même pour les éléments fantastiques). Les sentiments et les tourments des personnages se lisent sur leur visage, Keyhouse est un véritable bijou d'architecture et certaines scènes en pleine page sont de vrais perles.

Si l'adaptation de la série, dont j'avais vu la première saison, m'avait fait bonne impression, la lecture de la série complète des comics m'a définitivement subjuguée. A lire et découvrir, vraiment !
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Un dernier tome dense, riche en événements et en rebondissements, très rythmé et bourré d'action. Une vraie fin pour cette saga "Locke and Key" que j'ai trouvé excellente de bout en bout ! Les personnages évoluent, les histoires sont toujours bien ficelées et la boucle est bouclée avec ce tome 6.
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« Alpha & Oméga » est le dernier tome de la saga « Locke & Key » et propose une conclusion épique à une saga qui m'a coupé le souffle. Plusieurs atouts sont à mettre en avant : les illustrations frappantes, le scénario en béton et le rythme stupéfiant. Un grand coup de coeur !
(chronique complète sur le blog)
Lien : http://livrement.com/2014/05..
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Il s'agit du sixième et dernier tome de la série qui forme une histoire complète ; il faut donc impérativement commencer par le premier tome : Bienvenue à Lovecraft. Ce tome contient les 5 épisodes de la minisérie "Omega", et les 2 épisodes de la minisérie "Alpha", initialement parus en 2012/2013, écrits par Joe Hill, dessinés et encrés par Gabriel Rodriguez, les auteurs de la série depuis le début.

Dodge a réussi à récupérer plusieurs clefs et il prépare une petite fête dans la grotte, là où se trouvent les noms gravés de Rendel Locke, Erin Voss, Kim Topher, Ellie Whedon, Mark Cho et Luke Carravaggio. Scot Kavanaugh réalise un projet vidéo : ils demandent à plusieurs de copains de faire une déclaration comme s'ils s'adressaient à eux-mêmes plus jeunes de quelques années. Il filme en particulier Jordan Gates, Jackie Veda, Jamal Saturday, Tyler Locke et Kinsey Locke. Scot se fait également faire un nouveau tatouage. Rufus Whedon est placé dans une institution spécialisée, la même que celle qui accueille déjà Erin Voss. Tyler répare une vieille voiture avec Duncan Locke. La fête de fin d'année scolaire est pour demain.

Dès le premier tome, Joe Hill et Gabriel Rodriguez emmenaient le lecteur dans une histoire à l'ambiance spécifique, auprès de personnages immédiatement attachants, dans un thriller avec un tueur psychopathe des plus terrifiants et un titre "Bienvenue à Lovecraft") qui semblait un peu trompeur (l'influence d'HP Lovecraft ne transparaissant pas). Au fil des 4 tomes suivants, le lecteur a appris à connaître chaque membre de la famille Locke comme un individu à part entière, avec ses qualités et ses défauts, ses espoirs et ses peurs. Il a découvert une composante fantastique mêlant parfaitement merveilleux et horreur (et justifiant le titre du premier tome petit à petit). Il a été transporté dans un roman d'une grande ampleur, ne perdant jamais de vue l'humanité des personnages, avec une dimension divertissante d'une grande intensité. Toutes les bonnes choses ont une fin : il est temps pour les auteurs de conclure leur récit. Il va sans dire que les attentes du lecteur sont très élevées.

Outre l'hommage à l'imagination d'Howard Philips Lovecraft (les inquiétantes plaines de Leng), Hill et Rodriguez insèrent une ou deux références facilement identifiables telles que le facsimilé d'une couverture de comics de guerre, ou une variation sur l'une des scènes les plus mémorables (et visuelles) de Carrie de Brian de Palma (1976). Il y a également cette scène de cérémonie funèbre qui fait écho à celle célébrée pour le décès de Rendell Locke dans le premier tome, avec la même mise en scène (Hill et Rodriguez installant ainsi une forme de boucle) : un individu assis sur un banc recevant les marques de réconfort de ses amis.

Ce tome démarre très fort avec les agissements de Dodge qui arrivent à terme, une révélation d'un sentiment de culpabilité déchirant en lien avec le meurtre de Rendell Locke, et le dispositif des personnages s'adressant à la caméra pour donner un conseil virtuel à l'adolescent qu'ils ont été. Joe Hill n'a rien perdu de son adresse pour faire apparaître la personnalité de chacun de manière naturelle, avec des expressions de visage et un langage corporel adéquat. La complémentarité d'Hill et Rodriguez permet de réaliser une blague très drôle sur la fontanelle en tant qu'élément obscène.

Puis vient le temps de la résolution de l'intrigue, d'amener les personnages vers une fin en bonne et due forme, de raconter l'affrontement final. Étrangement Hill et Rodriguez semblent alors perdre leur adresse narrative pour aligner l'une après l'autre chaque scène, fortement chargée en dialogues (chaque personnage souhaitant exposer son point de vue définitif), portée par des mises en scène manquant parfois d'imagination. L'amalgame entre intrigue et interaction des personnages donne l'impression de ne plus pouvoir se faire naturellement, les auteurs agrégeant artificiellement ces composantes (en particulier actions visuelles et dialogues explicatifs). Pourtant Rodriguez n'a rien perdu de sa capacité à dessiner les décors (le manoir de Lovecraft conserve ses caractéristiques) et les accessoires (la Couronne des Ombres est toujours remarquable, ainsi que les manifestations des ombres). Joe Hill n'oublie ni ses personnages, ni leurs motivations. Mais lorsque le criminel expose ses motivations, il s'agit d'une scène artificielle où il prend le temps de se justifier avant d'achever ses ennemis, comme le premier supercriminel venu, au lieu d'agir et d'assurer sa victoire en achevant ses ennemis. Pourtant Hill réalise un premier tiers exceptionnel, il utilise des éléments qu'il avait développés précédemment de manière magistrale (l'oiseau), leur faisant prendre une autre signification. Il n'oublie pas de faire apparaître une dernière fois les personnages restants. Sur ce dernier point, le lecteur reste également un peu sur sa faim, en particulier pour la participation de l'inspecteur Daniel Mutuku qui n'apporte rien au personnage.

Qui aime bien, châtie bien. Les 5 premiers tomes de la série sont exceptionnels, d'une richesse et d'une habilité hors du commun. le dernier tome peut sembler juste excellent. Il n'est pas bâclé. Il n'y a pas de ressorts narratifs relevant du deus ex machina exaspérant. Il n'y a pas de baisse de qualité dans les dessins. Mais il est possible de ressentir comme une maladresse dans la narration, Hill et Rodriguez casant tout ce qu'ils ont encore à dire au fur et à mesure, comme ils peuvent, de manière presque détachée de l'intrigue.
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