>
Critique de LoliDel
Emouvant du début à la fin.
Si je devais décrire ce roman avec un seul mot je dirais : Intense.
Intense dans le sens très profond. Une multitude d'émotions se font ressentir au cours de la lecture.
J'avais déjà beaucoup apprécié "Cartes Postales de Grèce", mon premier roman de Victoria Hislop, mais "L'île des oubliés" est de loin le plus beau roman que j'ai lu.
Beau car très poignant, profond, on y retrouve des personnages que l'on pourrait décrire comme « salis » et « détruits » par la maladie mais qui reflètent une image tellement pure, d'une bonté inégalable.
Ce roman traite de l'Île de Spinalonga et donc de fait, de la lèpre.
Une famille atteinte et détruite.
Un mère, institutrice, se retrouve forcée à quitter sa ville, Plaka, se situant juste en face de l'île, après s'être fait contaminer par un de ses élèves.
C'est d'ailleurs son mari qui assure les trajets des nouveaux arrivants sur l'île. Jusqu'au jour où il devra y conduit sa propre femme. Plus rien ne sera jamais plus comme avant pour ce mari, cette femme et leur fille. Elle succombera malheureusement de cette maladie.
Ses filles et son mari essaient tant bien que mal de vivre cette nouvelle vie du mieux qu'ils peuvent, avec cette île en face de leur quotidien.
Au fil des années, chacune prend une voie différente, pour l'une : celle d'un mariage prospère et pour l'autre, la vie auprès de son père bien aimé. Pourquoi le laisser seul ? Quel genre de fille serait-elle ?
Après quelques années, Maria finit tout de même par rencontrer un homme qui lui fera tourner la tête. La demande en mariage suit et est acceptée par son père aimant. Tout semble se précipiter et elle ne peut croire à la réalité de ce bonheur, jusqu'au jour où elle remarque une tache sur sa jambe…
Cette histoire, c'est celle qu'Alexis va découvrir en se rendant dans la ville dont sa mère est originaire. Alexis vit en Angleterre avec ses parents. Sa mère, Sophia, n'a jamais voulu lui parler de son passé, de ses parents ni de sa famille là-bas, en Grèce. Quel secret se cache-là en réalité ?
Si je devais décrire ce roman avec un seul mot je dirais : Intense.
Intense dans le sens très profond. Une multitude d'émotions se font ressentir au cours de la lecture.
J'avais déjà beaucoup apprécié "Cartes Postales de Grèce", mon premier roman de Victoria Hislop, mais "L'île des oubliés" est de loin le plus beau roman que j'ai lu.
Beau car très poignant, profond, on y retrouve des personnages que l'on pourrait décrire comme « salis » et « détruits » par la maladie mais qui reflètent une image tellement pure, d'une bonté inégalable.
Ce roman traite de l'Île de Spinalonga et donc de fait, de la lèpre.
Une famille atteinte et détruite.
Un mère, institutrice, se retrouve forcée à quitter sa ville, Plaka, se situant juste en face de l'île, après s'être fait contaminer par un de ses élèves.
C'est d'ailleurs son mari qui assure les trajets des nouveaux arrivants sur l'île. Jusqu'au jour où il devra y conduit sa propre femme. Plus rien ne sera jamais plus comme avant pour ce mari, cette femme et leur fille. Elle succombera malheureusement de cette maladie.
Ses filles et son mari essaient tant bien que mal de vivre cette nouvelle vie du mieux qu'ils peuvent, avec cette île en face de leur quotidien.
Au fil des années, chacune prend une voie différente, pour l'une : celle d'un mariage prospère et pour l'autre, la vie auprès de son père bien aimé. Pourquoi le laisser seul ? Quel genre de fille serait-elle ?
Après quelques années, Maria finit tout de même par rencontrer un homme qui lui fera tourner la tête. La demande en mariage suit et est acceptée par son père aimant. Tout semble se précipiter et elle ne peut croire à la réalité de ce bonheur, jusqu'au jour où elle remarque une tache sur sa jambe…
Cette histoire, c'est celle qu'Alexis va découvrir en se rendant dans la ville dont sa mère est originaire. Alexis vit en Angleterre avec ses parents. Sa mère, Sophia, n'a jamais voulu lui parler de son passé, de ses parents ni de sa famille là-bas, en Grèce. Quel secret se cache-là en réalité ?
