Cet avant-dernier tome est celui où les marchands tentent de reprendre leur destinée en main, mais surtout celui de la rencontre entre les deux Vivenefs, Vivacia et Parangon, un grand moment de tensions digne d'une scène de cinéma.
A Terrilville, le port d'attache, les cartes sont rebattues. L'ancien équilibre rompu pousse les différents clans en dehors de leur zone de confort et les incite à initier des négociations avec des partenaires disons… inhabituels. La scène de négociations avec Tintaglia, la dragonne, valent le détour.
Mais ce sont finalement les moments maritimes que j'ai préférés. Où l'on comprend un peu mieux la nature du pirate Kennit et de son lien avec les vivenefs, tandis que se dévoilent en filigrane les épreuves traversées par Paragon. Les pages filaient à toute allure, très prenant et sans aucun temps mort, j'ai dévoré ce tome sans trop le savourer, puis me suis empressée de me jeter sur le dernier tome Parangon finissant en morceaux.
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