Toujours une bonne plume et toujours de bons personnages, et pourtant j'en garde un souvenir mitigé, émaillé des incohérences intertomes – minimes, mais qui existent quand même – et les plus grosses dans le tome même : je citerais celle sur Tintaglia et ses oeufs, et l'invraisemblance probable à la fin de l'arc de Hest. J'ai regretté aussi la redondance de
Hobb dans ses messages féministes et humanistes : un doublon de Kyle Havre en la présence de Hest, et encore des personnages violés et maltraités, et encore et toujours pour en dire la même chose, mettre en avant la même évolution de résilience. Dommage que ça ne se renouvelle pas... je suis déçue par ce tome : je m'attendais à être submergée, comme au début, et ce n'est pas advenu. Je crois que Les Cités des Anciens sont des tomes de transition avant la suite, et leur scénario est en partie bloqué par les besoins du reste de l'histoire.
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