Ce mélange délicieux de l'étrangeté, allant jusqu'à l'horreur, et de la fraîcheur, de la luminosité des êtres, des jeunes filles et jeunes hommes, de la vie « normale » qui s'y confronte (au risque d'irriter, mais avec tant de charme). le fait que ces évocations de la face sombre soient toujours, par son ton, adoucies de bonhomie.
Plaisir aussi de voir l'habile construction du conte détaillée par le rédacteur supposé.
Une superposition de strates entre l'étrange et nous qui nous désarme, comme du sucre entourant une pastille qui pourrait être amère.
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