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Critique de PatriceG
Incontestablement, cet homme qui occupa le devant de la scène il y a peu, aujourd'hui rangé des affaires, est meilleur écrivain que Président de la République. Il a raté sa vocation.
C'est drôle parce que quand il était aux commandes du pays, et enregistrait les résultats que l'on sait, non seulement je m'en désespérais comme la plupart de mes concitoyens, mais je me faisais la réflexion que c'était l'homme occupant le plus haut sommet de l'Etat qui n'avait pas écrit un seul livre.
Pour "affronter", c'est un peu mou quand même, dans le genre caramel mou, les canons des fusils risquent de fondre au soleil à la première escarmouche, à décuire comme ils ont été fondus et de pendre comme des vieilles couilles qui ont très mal servi le pays d'ailleurs. Vous parlez d'un cri rassembleur, même pas de quoi faire se lever l'idiot du village ou de faire détourner l'attention de sa grenouille de bénitier.
Quand il était opposant à Chirac, il n'avait pas son pareil pour stigmatiser son rival, son verbe était acide, au vitriol. J e me souviens d'affrontements épiques à l'Assemblée qu'on a déjà oubliés. Il avait tellement de fil à retordre alors qu'on se demande pourquoi avec les rênes en main il ait tant tergiversé comme une poule inféconde et ne soit resté qu'une secrétaire au fond.
C'est drôle parce que quand il était aux commandes du pays, et enregistrait les résultats que l'on sait, non seulement je m'en désespérais comme la plupart de mes concitoyens, mais je me faisais la réflexion que c'était l'homme occupant le plus haut sommet de l'Etat qui n'avait pas écrit un seul livre.
Pour "affronter", c'est un peu mou quand même, dans le genre caramel mou, les canons des fusils risquent de fondre au soleil à la première escarmouche, à décuire comme ils ont été fondus et de pendre comme des vieilles couilles qui ont très mal servi le pays d'ailleurs. Vous parlez d'un cri rassembleur, même pas de quoi faire se lever l'idiot du village ou de faire détourner l'attention de sa grenouille de bénitier.
Quand il était opposant à Chirac, il n'avait pas son pareil pour stigmatiser son rival, son verbe était acide, au vitriol. J e me souviens d'affrontements épiques à l'Assemblée qu'on a déjà oubliés. Il avait tellement de fil à retordre alors qu'on se demande pourquoi avec les rênes en main il ait tant tergiversé comme une poule inféconde et ne soit resté qu'une secrétaire au fond.
