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Critique de LoupAlunettes
Nous sourions déja en ouvrant l'album. En dédicaces, si l'auteure Agnès Hollard nous donnera la source culturelle de son conte, de son côté, l'illustrateur Rémi Saillard nous donnera les secrets de sa recette graphique.
Cela a son importance puisque le conte est une réédition déja parue dans un autre style graphique, celui de Chris Raschka en 2004.
Tant mieux, cela nous intéressera et on vous la donnera d'ailleurs, ainsi vous regarder la technique des images d'un autre oeil.
Changez d'illustrateur, c'est un bonus.
Recette de Rémi Saillard :"... les images sont d'abord travaillées en noir et blanc sur un support que je fabrique moi-même: un papier très lisse recouvert de craie grasse. Ensuite, avec un cutter, une plume et du papier de verre, j" attaque" la surface noire, comme si je dessinais en négatif.
Une fois le dessin terminé, celui-ci est scanné et la couleur est ensuite travaillée au numérique...".
Voila. En attendant que la petite préparation fasse son effet au fil des pages tournées, chers jeunes lecteurs, nous reviendrons sur l'histoire laissée en réserve.
C'est l'histoire d'une petite fille noire, vêtue toute de rouge.
Sa maman l'a bien mise en garde de ne pas s'éloigner de la maison, de ne pas approcher de la forêt mais avec l'ennui, elle s'est laissée tentée.
Elle a suivi un chemin de fleurs et elle a oublié.
Ce petit conte randonnée, vous l'aurez compris, est une version du Chaperon. Cette version afro-américaine s'appelle " Gunniwolf" de son nom d'origine.
Nous nous ferons un plaisir de remarquer et soulever les détails qui changeront.
Nous rirons de cette partie de " Un, deux, trois, soleil" avec le loup qui s'endort à chaque fois au son de la voix de Petite Fille et qui se réveillera à chaque fois qu'elle tentera de s'échapper, sans chanter.
" Trê-bli
Trê-bla
Koum-koi
Ki-ma..."
Le récit sera très rythmé et assez musical avec les séries de formulettes et d'onomatopées.
Cela devrait être amusant à raconter et à écouter.
C'est court, concentrant la petite histoire mignonne en une grande frousse sans grand-mère ni autre rebondissement.
Elle devrait plaire aux plus jeunes, il faudra un peu s'entraîner pour la raconter et bien adopter la petite montée en puissance prévue.
On est fan de la collection " À petits petons" de chez Didier Jeunesse.
Cela a son importance puisque le conte est une réédition déja parue dans un autre style graphique, celui de Chris Raschka en 2004.
Tant mieux, cela nous intéressera et on vous la donnera d'ailleurs, ainsi vous regarder la technique des images d'un autre oeil.
Changez d'illustrateur, c'est un bonus.
Recette de Rémi Saillard :"... les images sont d'abord travaillées en noir et blanc sur un support que je fabrique moi-même: un papier très lisse recouvert de craie grasse. Ensuite, avec un cutter, une plume et du papier de verre, j" attaque" la surface noire, comme si je dessinais en négatif.
Une fois le dessin terminé, celui-ci est scanné et la couleur est ensuite travaillée au numérique...".
Voila. En attendant que la petite préparation fasse son effet au fil des pages tournées, chers jeunes lecteurs, nous reviendrons sur l'histoire laissée en réserve.
C'est l'histoire d'une petite fille noire, vêtue toute de rouge.
Sa maman l'a bien mise en garde de ne pas s'éloigner de la maison, de ne pas approcher de la forêt mais avec l'ennui, elle s'est laissée tentée.
Elle a suivi un chemin de fleurs et elle a oublié.
Ce petit conte randonnée, vous l'aurez compris, est une version du Chaperon. Cette version afro-américaine s'appelle " Gunniwolf" de son nom d'origine.
Nous nous ferons un plaisir de remarquer et soulever les détails qui changeront.
Nous rirons de cette partie de " Un, deux, trois, soleil" avec le loup qui s'endort à chaque fois au son de la voix de Petite Fille et qui se réveillera à chaque fois qu'elle tentera de s'échapper, sans chanter.
" Trê-bli
Trê-bla
Koum-koi
Ki-ma..."
Le récit sera très rythmé et assez musical avec les séries de formulettes et d'onomatopées.
Cela devrait être amusant à raconter et à écouter.
C'est court, concentrant la petite histoire mignonne en une grande frousse sans grand-mère ni autre rebondissement.
Elle devrait plaire aux plus jeunes, il faudra un peu s'entraîner pour la raconter et bien adopter la petite montée en puissance prévue.
On est fan de la collection " À petits petons" de chez Didier Jeunesse.
