Les soeurs Carmines, tome 1 : Le complot des corbeaux

Contrairement à ce que je pensais, j'ai eut du mal à me plonger dans ma lecture... Je suis un peu déçue parce que je pensais vraiment que j'allais embarquer à 200%, mais finalement non... Je suis restée détachée et distante, je ne sais pas trop pourquoi (sauf pour les chapitres de Dolorine étrangement, hihi je l'adore cette petite) Mais j'avoue que les 100 dernières pages sont beaucoup plus prenantes, les actions s'enchaînaient et je me posais plein de questions.

Cette histoire se passe aux temps anciens du coup certaines expressions ne vous diront pas grand chose, mais avec la tournure des phrases vous n'aurez pas trop de difficulté à comprendre. le vocabulaire employé est d'un registre recherché et parfois je ne vous cache pas que je n'ai pas compris un ou deux mots. Mais n'ayant crainte le livre se lit relativement facilement. Sur les plateformes de lectures il est conseillé à partir de 15 ans, ce qui je pense est très judicieux même si l'histoire est simple il ne veut mieux pas le laisser lire avant.
La plume de l'auteur est agréable, et fine. le livre se lit bien.

En ce qui concerne le récit, il est du domaine fantastique, on y voit des sorcières, des vampires, goules et autres créatures tout aussi lugubres et imaginaires.
C'est un roman sombre, tout y est pour faire un scénario digne de Tim Burton. Mais je n'ai pas accroché, les personnages ne m'ont pas plu, les soeurs Carmines sont un peu '' perturbés'' et agissent bizarrement par moment, je ne les ai pas comprises ( en même temps se sont des femmes aux pouvoirs surnaturels).
Dolorine est la plus jeune des soeurs et je la trouve plus intéressante et sympathique de toutes. Les passages du livre que j'ai adoré se sont celles issu du journal intime de celle-ci, on peut y lire des passages qui vous feront sourire mais surtout des explications sur la vie de ces trois orphelines.
Si vous aimez les histoires de mystères, de vampires et que vous aimez l'époque du 18/19éme siècles cette histoire peut vous plaire.

L'auteur nous met immédiatement dans l'ambiance puisque l'histoire démarre dans un cimetière. Les différents décors sales et macabres dans lesquels on se balade tout au long du livre sont absolument séduisants; non pas que je cultive un côté morbide, mais Grisaille et ses habitants sont, certes, sorties des pires cauchemars, mais ils sont aussi loufoques et quasi inoffensifs, un peu comme dans une oeuvre de Tim Burton.
C'est dans ce paysage savoureux qu'évoluent donc les soeurs Carmines. Merryvère, la cadette, fait office d'héroïne dans ce premier tome et campe sur la couverture. Elle est maligne, agile, indépendante et débrouillarde; bref, le personnage parfait qu'on adule à chaque intervention. J'ai cependant eu plus de soucis pour apprécier ses soeurs que j'ai trouvées trop stéréotypées : Tristabelle est une jeune femme qui se veut distinguée et qui préférait sacrifier sa vie plutôt que son maquillage, et Dolorès est la petite dernière, toute douce et mignonne, qui parle avec sa peluche démoniaque et qui voit les fantômes. Je prie pour que leur personnalité soit plus travaillée dans les tomes suivants car je ne les porte vraiment pas dans mon coeur pour le moment… L'intrigue n'offre pas non plus de grandes surprises, mais le récit est sauvé par un humour et un cynisme qui se prêtent parfaitement à cet univers.
Il semble évident que j'attendais trop de ce roman. Certes, ce fut une lecture agréable que j'ai vite terminée, mais j'aurais aimé avoir ce coup de coeur que beaucoup de lecteurs ont eu. Cela étant dit, j'ai trouvé le cliffhanger de fin vraiment efficace; par conséquent, je reste curieuse de connaître la suite.
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Je ne suis pas tout de suite rentrée dans l'histoire parce que je pense que je n'étais pas habituée à lire des livres dans un univers aussi macabre et bourré d'humour noir donc j'ai été un peu surprise. Toutes les familles différentes présentées ne le sont à mon goût pas assez justement et je m'y suis perdue. L'écriture basée sur l'humour est superbement bien réalisée mais l'intrigue autour de la fameuse cuillère m'a parfois un peu ennuyée...
En ce qui concerne les personnages je ne me suis pas tellement attachée à Merry que j'ai trouvé éteinte à côté des 2 autres soeurs qui ont des personnalités plutôt très atypiques ! J'ai bien aimé les passages du journal intime de Dolorine, j'ai trouvé ça très original ! Mais de tous, je pense avoir préféré Blaise alors qu'il n'a pas été si présent que ça.

J'ai découvert récemment cette série lors de la participation au Pumpkin Autumn Challenge. Vu tous les commentaires élogieux sur ces 3 soeurs je me suis laissée tenter par cette lecture.
Alors peut-être que j'en attendais trop mais je n'ai pas été totalement conquise par cette saga.
Certes l'univers est riche et bien décrit. Il y a des rebondissements, régulièrement des scènes d'actions et les personnages sont bien campés mais je ne sais pas, il manquait quelque chose pour moi. Peut-être est-ce le fait que c'est un roman pour adolescent et jeune adulte, que le style d'écriture n'est pas assez mature pour moi tout simplement.

Les s?urs carmines ne m'ont pas embarquées autant que je l'aurais souhaité. L'univers a un petit côté famille Adams mélange d'humour et de glauque mais les personnages ne sont pas assez creusés et leurs aventures ont quelques longueurs. Pas sur que je lise la suite.

Vu comme cette série était encensée depuis un certain temps, j'étais curieuse de la découvrir à mon tour. J'ai donc profité que l'auteur soit présent aux imaginales pour me procurer le premier tome, qui ne sera pas resté longtemps dans ma PAL (pour une fois !). Et... Je suis assez mitigée sur ce premier tome, en réalité...

Merryvère Carmine est une monte-en-l'air, un oiseau de nuit qui court les toits et cambriole les manoirs pour gagner sa vie et celles de ses soeurs, Dolorine et Tristabelle. Mais après un vol qui tourne au désastre, les trois soeurs sont en danger et activement recherchées par des vampires, des savants fous et autres assassins masqués.

En réalité, je ne sais pas vraiment comment commencer cette chronique. Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis déçue de ne pas avoir réussi à accrocher à ce premier tome, bien que certaines choses m'aient plu plus que d'autres. C'est bête à dire, mais je m'en veux de ne pas avoir réussi à apprécier cette lecture à sa juste valeur. Peut-être en attendais-je trop au vu des retours hyper positifs, qui sait... Néanmoins, et je sais que c'est totalement contradictoire, j'ai tout de même envie de connaître la suite des aventures de ces trois soeurs pas comme les autres.

Peut-être que ce qui fait que je n'ai pas réussi à accrocher, c'est que j'ai trouvé que le récit était assez décousu par moment. On passait d'une action à l'autre sans réelle ellipse. Je me suis vue plusieurs fois relire la phrase précédente pour comprendre qu'on changeait complètement de vision, pour en découvrir une nouvelle. Ou alors, c'est peut-être moi qui n'ait pas compris la subtilité du récit, qui sait ?

Un point non négligeable cependant : l'humour noir et caustique qui parsemé le récit. Bon, je n'ai pas ri à toutes les blagues cachées, mais certaines m'ont tout de même fait ricaner. Et il faut dire que Merry n'est pas la dernière à faire du sarcasme à tout va, surtout quand ça concerne sa soeur, Tristabelle.

D'ailleurs, en parlant d'elle, mon Dieu qu'elle était insupportable ! C'était sans aucun doute fait exprès, vu comme elle est constamment dans l'excès, mais j'ai eu tellement de fois envie de la secouer ou de lui foutre une ou deux claques ! En fait, elle est superficielle. Dans tout. Tout le temps. Elle ne se rend pas compte qu'elle est totalement à la ramasse parfois. Et c'est vrai, certains passages font rire, tellement ses réactions sont improbables ! Mais je dois avouer qu'un tome sur elle me fait un peu peur, du peur que j'en ai vu d'elle dans ce premier opus...

L'autre point que j'ai adoré, c'est le journal de la plus jeune des soeurs : Dolorine. Elle est tellement mignonne et innocente, cette petite... Elle est tellement douce et naturelle, qu'on a envie de la prendre dans nos bras. Les passages de son journal intime sont autant drôles que touchants et j'ai vraiment hâte d'en savoir plus sur elle !​

​En résumé, j'ai eu beau avoir dit que certains points m'ont dérangée, il n'en est pas moins que j'ai envie de savoir la suite, d'autant plus que la fin de ce tome est assez inattendue ! Certains personnages m'ont agacée (coucou Tristabelle) alors que d'autres m'ont touchée et plu. Donc ma nature curieuse veut en savoir plus, même si je n'ai pas réellement accroché à l'intrigue.
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Je n'ai pas totalement été conquise par ce tome.

Le point fort du récit est selon moi l'incroyable décor dépeint par l'auteur. On y retrouve une ville sombre, glauque, très peu accueillante qui donne une impression d'Arkham. Les créatures présentées sont très crédibles, qu'ils soient humanoïdes ou aviaires bien que l'ensemble donne vraiment l'impression que la ville ne peut pas exister ! Les tensions entre les créatures ne permettraient pas d'obtenir un équilibre et donc ne pourraient pas permettre aux humains sans pouvoir d'y vivre. Il manque selon moi un côté un peu plus politique permettant de crédibiliser l'univers en expliquant comment / pourquoi les peuples vivent dans un même lieu.

Ce qui ne m'a pas permis d'entrer dans le récit a été les personnages et l'histoire. Car passé l'univers gothique sale, il reste Merryvère qui n'est pas particulièrement sympa à suivre, Tristabelle qui est très drôle mais beaucoup trop caricaturale (comment peut-elle être encore en vie dans ce monde ?). Seule la petite Dolorine est intrigante, avec ses pouvoirs ou capacités extra-sensorielles, et donne envie de la suivre. Pourtant son caractère très infantile - du fait de son âge - rend le personnage un peu pénible également.
L'histoire en elle-même m'a un peu perdue parce que je ne me suis pas sentie investie. le côté régicide m'a totalement conquise mais nous ne suivons pas les problèmes de cours mais bien des personnages à cent lieux de savoir tout ce qui se passe, donc le lecteur ne sait pas tout ce qu'il se passe. Et c'est très dommage !

La crédibilité est le point faible principal de ce premier roman.
Et pour toutes ces raisons expliquées je ne suis pas sûr d'aller sur la suite.

un univers particulier où je n'ai pas su trouver ma place, malheureusement.

Les soeurs Carmines sont 3 filles aux caractères singuliers. L'aînée, Tristabelle, est la reine de la mode. Attention à ne pas s'opposer à ses gouts vestimentaires (ou décoratifs), elle ne se gênera pas de faire ses commentaires, qu'ils soient positifs ou négatifs. Viens ensuite Merryvère, Merry pour les intimes. Elle est le genre à s'attirer de nouveaux ennuis dès qu'elle a résolu les précédents. C'est d'ailleurs en majorité elle que nous suivons dans ce premier volet. Pour finir, la plus jeune se nomme Dolorine. Tête en l'air et toujours dans la lune, j'ai beaucoup apprécié sa manière de vivre. Tout parait léger avec elle.

L'intrigue portera sur les aventures de Merryvère et de ses soeurs. Après un vol raté, Merry va se retrouvée au coeur d'un complot dont elle n'avait pas idée. J'ai beaucoup aimé l'originalité de l'histoire et des personnages. Nous en apprenons un peu plus sur leur vie, le complot et d'autres au fil de l'aventure. le côté critique de Tristabelle m'a bien fait rire, elle n'en manque pas une.

Je ne sais pas s'il s'agit que de moi, mais je ne me suis pas laissé happé par l'histoire, j'étais peut-être ailleurs. Je n'ai pas réussi à profiter à 100 % de ma lecture, et j'en suis bien désolé.

En conclusion, j'ai beaucoup aimé ma lecture même si je n'ai pas profité comme je l'aurais voulu.

Sam :)
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