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Critique de ollivier
L'écriture est dense, son rythme ample.
On en apprend cependant davantage sur Comenius que sur Rembrandt dont on connaît bien la biographie : on découvre ce personnage bien connu des Tchèques, son désir d'unification de l'Europe, ses projets de développement des écoles.
Les monologues intérieurs de Rembrandt comme ceux de Comenius interviennent brutalement et ne possèdent pas la même spontanéité que les dialogues ; le lecteur doit alors faire l'effort de replacer ces remarques intérieures dans leur propre dimension et le naturel de la lecture en pâtit.
La densité des réflexions fait cependant tout l'intérêt de cet ouvrage.
On en apprend cependant davantage sur Comenius que sur Rembrandt dont on connaît bien la biographie : on découvre ce personnage bien connu des Tchèques, son désir d'unification de l'Europe, ses projets de développement des écoles.
Les monologues intérieurs de Rembrandt comme ceux de Comenius interviennent brutalement et ne possèdent pas la même spontanéité que les dialogues ; le lecteur doit alors faire l'effort de replacer ces remarques intérieures dans leur propre dimension et le naturel de la lecture en pâtit.
La densité des réflexions fait cependant tout l'intérêt de cet ouvrage.
