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Critique de mara
Après le tome 1, me revoici avec le tome 2 de cette trilogie. Trilogie qui je le rappelle fait partie en VO d'une série de 20 tomes. En fait, cette trilogie reprend les trois premiers tomes de cette longue série. La seconde trilogie, le clan Murray, correspond aux tomes 4, 5 et 6. Et enfin la troisième trilogie (actuellement en cours de publication par Milady), Les femmes du clan Murray, devrait correspondre je pense aux tomes 7,8 et 9. L'ensemble des personnages de la série seront donc les enfants ou les petits-enfants des héros des trois premiers tomes (de la trilogie Les chefs du clan Murray). Voilà pour planter le décor.
Passons maintenant à ce tome proprement dit. Après l'aîné, c'est au tour du frère du milieu, Nigel, d'être sur le devant de la scène. Premier constat en ouvrant le roman, j'avais peu de souvenirs du tome 1. Et heureusement que l'auteur nous rappelle très vite pourquoi Nigel est en exil volontaire car sinon j'aurai été dans le flou un long moment. Sept longues années se sont écoulées depuis la fin du tome 1 et Nigel n'a toujours pas oublié la femme qu'il aime. C'est pourquoi je suis plus que sceptique face à son « coup de foudre » avec Gisèle. Surtout que la jeune femme ressemble étrangement à la femme aimée auparavant. Mais que voulez-vous, c'est la magie des romances. le héros peut être amoureux depuis des siècles de la même femme, lorsqu'il va croiser la bonne, il va oublier la première en un claquement de doigts. Ce revirement de situation m'a un peu gêné au cours de ma lecture. Même si ce n'est pas rare en romance. Je pense que c'est la ressemblance qui me dérange le plus.
Sinon la romance est tout ce qu'il y a de plus classique. Même si elle est un peu longue par moment. J'ai cru qu'ils n'arriveraient jamais en Ecosse, tellement leur voyage était long. Mais bon, faire des galipettes dans les clairières n'a jamais fait avancer plus vite. Au bout de la troisième scène de se*xe entre Nigel et Gisèle j'avais compris que la jeune femme avait oublié ses blessures. Pas besoin de le répéter encore et toujours.
Si les écossais ont le beau rôle dans ce tome, il n'en est pas de même pour les français. On passe pour les pires des salauds. Soit on est des monstres, soit on ferme les yeux et on laisse faire. Merci pour l'image!
Vous l'aurez compris, je n'est pas été emballée par ce tome que j'ai trouvé bien trop long et bourré de détails qui me gênent. Dommage, car j'aime bien l'écriture de Hannah Howell et certains tomes que j'ai lu d'elle ne sont pas pas mauvais. Je ne désespère pas, je vais bien finir par tomber sur un tome qui me plait. Surtout que certaines lectrices apprécient vraiment ces romans…
Lien : http://mondedemara.canalblog..
Passons maintenant à ce tome proprement dit. Après l'aîné, c'est au tour du frère du milieu, Nigel, d'être sur le devant de la scène. Premier constat en ouvrant le roman, j'avais peu de souvenirs du tome 1. Et heureusement que l'auteur nous rappelle très vite pourquoi Nigel est en exil volontaire car sinon j'aurai été dans le flou un long moment. Sept longues années se sont écoulées depuis la fin du tome 1 et Nigel n'a toujours pas oublié la femme qu'il aime. C'est pourquoi je suis plus que sceptique face à son « coup de foudre » avec Gisèle. Surtout que la jeune femme ressemble étrangement à la femme aimée auparavant. Mais que voulez-vous, c'est la magie des romances. le héros peut être amoureux depuis des siècles de la même femme, lorsqu'il va croiser la bonne, il va oublier la première en un claquement de doigts. Ce revirement de situation m'a un peu gêné au cours de ma lecture. Même si ce n'est pas rare en romance. Je pense que c'est la ressemblance qui me dérange le plus.
Sinon la romance est tout ce qu'il y a de plus classique. Même si elle est un peu longue par moment. J'ai cru qu'ils n'arriveraient jamais en Ecosse, tellement leur voyage était long. Mais bon, faire des galipettes dans les clairières n'a jamais fait avancer plus vite. Au bout de la troisième scène de se*xe entre Nigel et Gisèle j'avais compris que la jeune femme avait oublié ses blessures. Pas besoin de le répéter encore et toujours.
Si les écossais ont le beau rôle dans ce tome, il n'en est pas de même pour les français. On passe pour les pires des salauds. Soit on est des monstres, soit on ferme les yeux et on laisse faire. Merci pour l'image!
Vous l'aurez compris, je n'est pas été emballée par ce tome que j'ai trouvé bien trop long et bourré de détails qui me gênent. Dommage, car j'aime bien l'écriture de Hannah Howell et certains tomes que j'ai lu d'elle ne sont pas pas mauvais. Je ne désespère pas, je vais bien finir par tomber sur un tome qui me plait. Surtout que certaines lectrices apprécient vraiment ces romans…
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