Voila une dystopie comme je les aime. L'auteur nous embarque dès la première phrase. Il y a ensuite plusieurs ruptures qui rythment le récit. Un monde entièrement enfoui, clos, étouffant. Une vraie fourmilière. D'ailleurs les individus sont séparés en castes comme les insectes sociaux. le pire crime existant dans cette société : exprimer le désir de "sortir".
Merci
Commenter  J’apprécie         160