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Critique de alexiasurin
A travers les mots de Freeric, j'ai découvert un pays qui faisait beaucoup parler de lui quand j'étais gosse. Cette découverte se fait en suivant les traces d'Alexandre.
Avec lui, on vit des moments d'insouciance, des moments plus durs, des moments de bonheur et le basculement de ces grandes joies qui se contentent de pue dans une horreur sans nom, dans un pays entier devenu un no man's land.
Ado, je voyais les images sans comprendre, adulte, comme pour beaucoup de choses désagréables, j'ai mis tout ça derrière moi en me faisant une joie de l'oublier. Mais oublier quoi finalement ? Ce qu'on pouvait voir à la télé était bien loin de ce qu'écrit Freeric.
Malgré un style un peu lourd pour moi, l'auteur m'a transportée dans ce pays, m'a fait m'interroger sur beaucoup de choses : jusqu'où serais-je capable d'aller pour ma famille ? Et dès lors qu'il ne me reste plus rien, quelle sera ma réaction ? Ai-je vraiment besoin d'autant pour être heureuse ? Parce que oui, je m'estime riche de pouvoir manger à ma faim, d'avoir un toit au-dessus de ma tête et de pouvoir me soigner correctement. Et de ne pas avoir à lutter au quotidien pour ma survie.
Si comme pour moi, cette partie de l'histoire s'est déroulée à une période où vous étiez trop jeune pour comprendre ou vous y intéresser, je vous conseille de lire « Les années sauvages », livre sans concession ou les âmes sensibles doivent se préparer à revivre des heures bien sombres.
Avec lui, on vit des moments d'insouciance, des moments plus durs, des moments de bonheur et le basculement de ces grandes joies qui se contentent de pue dans une horreur sans nom, dans un pays entier devenu un no man's land.
Ado, je voyais les images sans comprendre, adulte, comme pour beaucoup de choses désagréables, j'ai mis tout ça derrière moi en me faisant une joie de l'oublier. Mais oublier quoi finalement ? Ce qu'on pouvait voir à la télé était bien loin de ce qu'écrit Freeric.
Malgré un style un peu lourd pour moi, l'auteur m'a transportée dans ce pays, m'a fait m'interroger sur beaucoup de choses : jusqu'où serais-je capable d'aller pour ma famille ? Et dès lors qu'il ne me reste plus rien, quelle sera ma réaction ? Ai-je vraiment besoin d'autant pour être heureuse ? Parce que oui, je m'estime riche de pouvoir manger à ma faim, d'avoir un toit au-dessus de ma tête et de pouvoir me soigner correctement. Et de ne pas avoir à lutter au quotidien pour ma survie.
Si comme pour moi, cette partie de l'histoire s'est déroulée à une période où vous étiez trop jeune pour comprendre ou vous y intéresser, je vous conseille de lire « Les années sauvages », livre sans concession ou les âmes sensibles doivent se préparer à revivre des heures bien sombres.
