Le désert se peint, se dessine, se dévoile à peine sous les plumes d'
Hassan Massoudy, il en ressort peint sur le papier, esquissé et s'il semble mis en forme et n'en parait qu'encore plus mystérieux. Sur les fond des calligraphies on pourrait jurer voir le sirocco balayer à l'infini les sables du désert. le noir profond de l'encre tranche sur les tons chauds des arrières plans en thème de fond désertique et pourtant en mouvement, plein de vies dissimulées, discrètes, effacées peut être.
Les flammes des mots d'amour du poète semblent pouvoir nous consumer corps et âme.
D'un trait unique
Massoudy sait donner vie à une courbe: évoquer la flamme, la terre, la tempête de sable, la femme rêvée...
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