Cela faisait un certain temps que je n'avais pas apprécier autant un
Indridason. J'aime cet auteur. Il arrive à capter mon attention sans en faire trop. C'est toujours très sobre.
Dans ce roman, on en apprend plus sur son second collègue, Sigurdur Oli. Un personnage qui peut être très désagréable.
La force de ce roman (mais aussi des autres), c'est de porter beaucoup d'importance sur le "pourquoi" et pas seulement sur le "qui".
Les personnages sont tous très bons. Et les différentes histoires sont toutes aussi importantes.
Il a toujours ce regard acéré sur la société islandaise.
Commenter  J’apprécie         20