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Critique de Meygisan
Cette bd date de 2003 et l'unique raison qui m'a poussé à me la procurer est la présence de Jean Luc Istin aux commandes.
A la lecture de ce premier tome, on sent déjà une volonté de la part de l'auteur de renouveler le genre, ou du moins de se démarquer de ses contemporains en proposant un univers bien personnel. Mais il est difficile de se détacher de ses influences et cette bd n'échappe pas à la règle. On se croirait chez Tolkien, on retrouve les races typiques de la fantasy, le trio habituel en tête, elfes, humains, nains, dans une guerre contre un ennemi sombre empruntant plus d'un trait à Sauron. le personnage principal, Bran, est ici un savant mélange entre Gandalf et Aragorn, entre mage et rôdeur. On sent là encore (trop!) les influences rôlistes de l'auteur.
Ce premier tome commence par une introduction, bien réalisée, qui nous conte les origines de l'univers dans lequel l'auteur va nous entraîner. Puis le scénario pose les bases dramatiques, les enjeux, et présentent les principaux protagonistes. Rien de bien probant ou surprenant, on navigue en terrain hyper connu. Il y a bien un premier affrontement qui nous montre l'étendue des pouvoirs de Bran, et qui donne l'occasion au dessinateur de s'en donner à coeur joie. Même si les personnages manquent de rigueur, il faut avouer que certains décors et planx extérieurs sont absolument magnifiques, surtout ceux qui s'étalent sur une ou 2 pleines pages. je ne pense pas que cette bd révolutionnera le genre mais elle a éveillé suffisamment ma curiosité pour que je me procure la suite...
A la lecture de ce premier tome, on sent déjà une volonté de la part de l'auteur de renouveler le genre, ou du moins de se démarquer de ses contemporains en proposant un univers bien personnel. Mais il est difficile de se détacher de ses influences et cette bd n'échappe pas à la règle. On se croirait chez Tolkien, on retrouve les races typiques de la fantasy, le trio habituel en tête, elfes, humains, nains, dans une guerre contre un ennemi sombre empruntant plus d'un trait à Sauron. le personnage principal, Bran, est ici un savant mélange entre Gandalf et Aragorn, entre mage et rôdeur. On sent là encore (trop!) les influences rôlistes de l'auteur.
Ce premier tome commence par une introduction, bien réalisée, qui nous conte les origines de l'univers dans lequel l'auteur va nous entraîner. Puis le scénario pose les bases dramatiques, les enjeux, et présentent les principaux protagonistes. Rien de bien probant ou surprenant, on navigue en terrain hyper connu. Il y a bien un premier affrontement qui nous montre l'étendue des pouvoirs de Bran, et qui donne l'occasion au dessinateur de s'en donner à coeur joie. Même si les personnages manquent de rigueur, il faut avouer que certains décors et planx extérieurs sont absolument magnifiques, surtout ceux qui s'étalent sur une ou 2 pleines pages. je ne pense pas que cette bd révolutionnera le genre mais elle a éveillé suffisamment ma curiosité pour que je me procure la suite...
