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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Lors du tome précédent nous avions appris la paternité du capitaine Hannibal Meriadec. Fille qu'il a abandonnée sans remord à une secte satanique d'où sa rancoeur et le fait que cette dernière s'amuse à posséder les marins du Mac Lire afin de faire pendre son papounet. Voilà ou on en était . Bien sur Hannibal ne va pas de laisser tuer par une stupide corde et il ne restera pas pendu longtemps. Avec l'aide des elfes, il se hisse sur le navire de sa fille et la rencontre n'est pas des plus chaleureuse.

le père et la fille vont décider de jouer pour le moment la carte de la cohabitation, par conséquent pas de mort et d'affrontement violent. dans ce tome c'est le calme avant la tempête semble-t-il. Les navires accostent au nouveau monde, le capitaine Meriadec toujours pour tenir sa promesse aux elfes (sauver leur peuple outre atlantique) et Lilith la satanique fille d'Hannibal pour s'accaparer les mythiques cités d'or. Première rencontre pacifique avec les indigènes et poursuite du voyage sur le fleuve.
Pas un tome des plus enivrants donc mais il pose les bases pour la suites. Les troupes espagnols qui s'apprêtent à attaquer les elfes des cités d'or, la fille d'Hannibal toujours aussi décidée à tuer son père après avoir à récupérer son or, le futur barbe noire qui devient apprenti magicien...
A suivre donc pour savoir où tout cela va nous mener!
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