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Critique de Meygisan


Rien de bien neuf ni de particulièrement exaltant dans ce tome 2 si ce n'est que le scénario renoue avec les légendes celtiques en impliquant directement quelques divinités du panthéon celtique, Nuada en tête et principalement représenté. Ce tome nous en dit un peu plus sur le destin de Merlin, ses pouvoirs grandissants et surtout Jean Luc Istin confirme le cadre de son récit, en révélant très clairement l'instrumentalisation de son personnage principal au pofit des anciennes traditions et de leur incarnation en la déesse Ahès, qui se prétend sa véritable mère. Celle ci est absolument convaincu ( n'a t'elle pas créé Merlin dans ce seul but?) que son fils doit épouser son destin monumental, qu'elle a d'ailleurs déjà tout tracé pour lui. Pendant ce temps là, Merlin subit tout cela sans qu'il ne comprenne véritablement ses origines, ni ses pouvoirs, encore moins sa véritable nature. Un jour viendra où il devra faire un choix difficile mais crucial entre la " foi druidique" et le christianisme. Jean Luc Istin, en faisant de lui un personnage tourmenté par les deux destins possibles, renforce l'idée de son instrumentalisation. Il est à la fois le jouet d'Ahès, sa divine maternelle, et celui du dieu unique incarné par cette coupe. Intéressant...
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