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Critique de Enroute
C'est un retour sur les premiers accords sur le climat : le sommet de la Terre de 1992, et puis le protocole de Kyoto.
Chaque fois de grandes déclarations fracassantes, qui ne sont jamais suivies d'effet.
En 1992, au Sommet de la Terre, signés par tous les pays du monde, les plus grandes puissances ne mettront jamais les textes en application.
Les États-Unis et le Canada se désisteront même, comme du protocole de Kyoto de 1995.
Pour mettre en évidence ce décalage entre les déclarations et la réalité, des dessins sont exécutés représentants les visages des principaux responsables politiques comme s'ils étaient pris sur le vif à proférer leurs grandes sentences définitives sur la nécessité de changer le climat.
C'est assez efficace, et fait prendre conscience que la lutte contre le réchauffement climatique est une question politique : se passer de pétrole signifie se passer des moyens de faire la guerre.
C'est donc le dernier à décarboner qui sera le maître du monde.
En attendant, la concentration de CO2 ne cesse d'augmenter. Les incendies qui dégagent autant de CO2 que l'Allemagne en un an ravagent l'Australie (et maintenant le Texas).
Chaque fois de grandes déclarations fracassantes, qui ne sont jamais suivies d'effet.
En 1992, au Sommet de la Terre, signés par tous les pays du monde, les plus grandes puissances ne mettront jamais les textes en application.
Les États-Unis et le Canada se désisteront même, comme du protocole de Kyoto de 1995.
Pour mettre en évidence ce décalage entre les déclarations et la réalité, des dessins sont exécutés représentants les visages des principaux responsables politiques comme s'ils étaient pris sur le vif à proférer leurs grandes sentences définitives sur la nécessité de changer le climat.
C'est assez efficace, et fait prendre conscience que la lutte contre le réchauffement climatique est une question politique : se passer de pétrole signifie se passer des moyens de faire la guerre.
C'est donc le dernier à décarboner qui sera le maître du monde.
En attendant, la concentration de CO2 ne cesse d'augmenter. Les incendies qui dégagent autant de CO2 que l'Allemagne en un an ravagent l'Australie (et maintenant le Texas).
