A mi-chemin, j'abandonne. Les vagabondages de la plume de Jaenada -- pittoresques, drôles, enlevés -- ont finalement émoussé ma curiosité. L'auteur n'a-t-il pas grillé dès le départ toutes ses cartouches, en livrant dès les premières pages ses parti-pris, ses indignations, les clés de son travail ? Après 300 pages, il peine à laisser espérer de vrais rebondissements... et le récit s'étire...
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