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Critique de deslivresdesmots
Sofia de Corsi est comtesse au coeur d'un village de Toscane. En 1943, leur quotidien paisible est bouleversé par l'arrivée des allemands sur leur terre. Elle n'arrive pas à concevoir ces envahisseurs et veut à tout prix aider les résistants. Elle lutte sans relâche aux côtés d'Anna, de Carla et de Maxine, une jeune américaine tout juste arrivée dans la résistance. Sofia et Maxine, si différentes vont se lier d'amitié à travers la cruauté de cette guerre. Elles vont mener des combats aux côtés des hommes. Lorenzo, le mari de Sofia fait comme il peut pour utiliser sa position haut placée afin de communiquer des informations capitales aux alliés. N'étant presque jamais là, Sofia doit faire face seule à la peur et l'angoisse de tout perdre. Mais c'est sans compter sur sa détermination et celles des filles, qu'elles vont faire comme elles peuvent pour braver les dangers et combattre les ennemis.
Parmi tous les livres que j'ai pu lire sur la seconde guerre mondiale, celui-là est complètement différent. Déjà, il se passe en Italie et je n'étais pas au courant de toute l'histoire dans ce pays. A ce moment-là, le peuple italien ne devait pas faire face qu'aux Allemands, il devait combattre aussi « les chemises noires », les fascistes pro-Mussolini. Deux groupes sévères faisaient rages. J'ai profondément admirer le courage de Sofia et de Maxine, qui malgré leurs caractères opposés ont su se trouver et mener les combats ensemble. Leur amitié est bouleversante.
Malgré le sujet fort intéressant, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire au début. J'avais l'impression que des évènements se succédaient sans vraiment de liens et j'avais des difficultés à comprendre qui était qui. Puis au fil des chapitres, on rentre dans l'histoire, on tremble de peur à leurs côtés, on pleure beaucoup aussi. Certains passages sont très difficiles à lire. Ce que j'ai apprécié, c'est de parler aussi de certains allemands nazis qui était en fait tout le contraire et faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour aider. Cette histoire montre l'humanité dans ce qu'elle a de plus terrible comme ce qu'elle a de plus beau à nous offrir.
Parmi tous les livres que j'ai pu lire sur la seconde guerre mondiale, celui-là est complètement différent. Déjà, il se passe en Italie et je n'étais pas au courant de toute l'histoire dans ce pays. A ce moment-là, le peuple italien ne devait pas faire face qu'aux Allemands, il devait combattre aussi « les chemises noires », les fascistes pro-Mussolini. Deux groupes sévères faisaient rages. J'ai profondément admirer le courage de Sofia et de Maxine, qui malgré leurs caractères opposés ont su se trouver et mener les combats ensemble. Leur amitié est bouleversante.
Malgré le sujet fort intéressant, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire au début. J'avais l'impression que des évènements se succédaient sans vraiment de liens et j'avais des difficultés à comprendre qui était qui. Puis au fil des chapitres, on rentre dans l'histoire, on tremble de peur à leurs côtés, on pleure beaucoup aussi. Certains passages sont très difficiles à lire. Ce que j'ai apprécié, c'est de parler aussi de certains allemands nazis qui était en fait tout le contraire et faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour aider. Cette histoire montre l'humanité dans ce qu'elle a de plus terrible comme ce qu'elle a de plus beau à nous offrir.
