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Critique de OREILLYS
Sous une narration personnalisée, l'auteur nous fait vivre en même temps qu'il nous rapporte, le résumé d'une vie de découvertes. On le dit peu connu en France et pourtant, ce nom, John MUIR, m'est on ne peut plus familier. Ecossais de naissance, il partira à la conquête de la Sierra Nevada et découvre la vallée de Yosemite qui deviendra par la suite ce parc très connu, qui n'a plus rien voir un siècle et demi plus tard, avec la terre foulée d'autrefois.
Difficile de définir John MUIR, mais il semble ressortir un besoin permanent d'aller de l'avant et d'observer ce monde avant qu'il ne soit colonisé par l'Homme.
Le récit mélange propos de l'aventurier et propos de l'auteur, passé et présent. Ce n'est pas forcément le format que je préfère mais c'est indéniablement une invitation à lire les écrits de John MUIR.
Difficile de définir John MUIR, mais il semble ressortir un besoin permanent d'aller de l'avant et d'observer ce monde avant qu'il ne soit colonisé par l'Homme.
Le récit mélange propos de l'aventurier et propos de l'auteur, passé et présent. Ce n'est pas forcément le format que je préfère mais c'est indéniablement une invitation à lire les écrits de John MUIR.
