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Critique de XanderOne
Voici The Breaker, un titre qui date de 2007 et qui avait déjà été édité il y a quelques années par Booken, mais qui ne semble plus rien éditer depuis un moment. Par chance les éditions Meian ont repris la licence !
The Breaker est un manhwa, comprenez par là, qu'à la différence d'un manga, c'est publié en Corée du sud. Donc l'intrigue ne se passe pas au Japon, et les noms des personnages sont parfois un peu plus complexes à retenir. Hormis ces détails, le format reste le même qu'un manga.
Nous suivons ici deux personnages, un professeur et un élève. le jeune Shinwoo subit un harcèlement permanent de la part d'autres élèves de son lycée, et il ne fait malheureusement pas le poids face aux racailles qui le rackettent et le tabassent chaque jour. le titre n'est donc pas très joyeux de prime abord. Mais les choses vont un peu s'arranger pour Shinwoo lorsqu'un nouveau professeur remplaçant va intégrer le lycée.
Han Chonwoo est un prof assez décontracté mais il ne faut pas le chercher. Un peu à la manière de Onizuka dans GTO, mais en beaucoup plus sérieux. Ce dernier ne cherche pas à mater les culottes des filles comme le faisait Onizuka, mais plutôt à coucher avec les autres professeures. On est un cran au-dessus en ce qui concerne le sérieux du titre. D'ailleurs, Han Chonwoo ne va pas spécialement chercher à aider le pauvre Shinwoo qui sera sans cesse sur son chemin, et qui va se retrouver malgré lui, mêlé à toutes sortes de problèmes bien plus dangereux que ce qu'il subit au lycée.
Car le cher professeur Han Chonwoo cache de terribles secrets que l'on va très rapidement découvrir au fil de ses deux premiers tomes. En effet, il est difficile d'imaginer qu'il est en réalité un combattant hors du commun, le Gumunryong (que l'on peut traduire par « le dragon des neufs portes ») et qu'il fait parti d'une organisation appelée le Murim.
On est donc ici dans un titre très mafieux, avec plusieurs familles puissantes qui semblent en vouloir à Han Chonwoo. Que s'est-il passé pour qu'il change d'identité et vienne se cacher dans un lycée ? Nous le découvrirons petit à petit, mais je ne vous en dirais pas plus pour l'instant. Comme pour Kingdom, je chroniquerais les autres tomes, au fil de mes lectures.
En tout cas, une fois de plus, les éditions Meian nous proposent ici un titre fort, sérieux, un univers et des personnages bad-ass, qui ne sont pas sans rappeler les célèbres GTO, Sun-Ken Rock ou plus récemment, King of Ants ou Dog End. Je dirais quand même qu'on est ici dans quelque chose de plus sombre, de plus sérieux, même si l'humour est quand même bien présent. du coté graphique, c'est vraiment superbe, les cases sont très dynamiques, les visages très expressifs, et les phases de combats et d'actions parfaitement crédibles et biens mises en scènes.
Lien : https://chezxander.wordpress..
The Breaker est un manhwa, comprenez par là, qu'à la différence d'un manga, c'est publié en Corée du sud. Donc l'intrigue ne se passe pas au Japon, et les noms des personnages sont parfois un peu plus complexes à retenir. Hormis ces détails, le format reste le même qu'un manga.
Nous suivons ici deux personnages, un professeur et un élève. le jeune Shinwoo subit un harcèlement permanent de la part d'autres élèves de son lycée, et il ne fait malheureusement pas le poids face aux racailles qui le rackettent et le tabassent chaque jour. le titre n'est donc pas très joyeux de prime abord. Mais les choses vont un peu s'arranger pour Shinwoo lorsqu'un nouveau professeur remplaçant va intégrer le lycée.
Han Chonwoo est un prof assez décontracté mais il ne faut pas le chercher. Un peu à la manière de Onizuka dans GTO, mais en beaucoup plus sérieux. Ce dernier ne cherche pas à mater les culottes des filles comme le faisait Onizuka, mais plutôt à coucher avec les autres professeures. On est un cran au-dessus en ce qui concerne le sérieux du titre. D'ailleurs, Han Chonwoo ne va pas spécialement chercher à aider le pauvre Shinwoo qui sera sans cesse sur son chemin, et qui va se retrouver malgré lui, mêlé à toutes sortes de problèmes bien plus dangereux que ce qu'il subit au lycée.
Car le cher professeur Han Chonwoo cache de terribles secrets que l'on va très rapidement découvrir au fil de ses deux premiers tomes. En effet, il est difficile d'imaginer qu'il est en réalité un combattant hors du commun, le Gumunryong (que l'on peut traduire par « le dragon des neufs portes ») et qu'il fait parti d'une organisation appelée le Murim.
On est donc ici dans un titre très mafieux, avec plusieurs familles puissantes qui semblent en vouloir à Han Chonwoo. Que s'est-il passé pour qu'il change d'identité et vienne se cacher dans un lycée ? Nous le découvrirons petit à petit, mais je ne vous en dirais pas plus pour l'instant. Comme pour Kingdom, je chroniquerais les autres tomes, au fil de mes lectures.
En tout cas, une fois de plus, les éditions Meian nous proposent ici un titre fort, sérieux, un univers et des personnages bad-ass, qui ne sont pas sans rappeler les célèbres GTO, Sun-Ken Rock ou plus récemment, King of Ants ou Dog End. Je dirais quand même qu'on est ici dans quelque chose de plus sombre, de plus sérieux, même si l'humour est quand même bien présent. du coté graphique, c'est vraiment superbe, les cases sont très dynamiques, les visages très expressifs, et les phases de combats et d'actions parfaitement crédibles et biens mises en scènes.
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