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Critique de TableRonde
J'ai bien le sentiment d'être sur le point de commettre un crime de lèse majesté.
Trois hommes dans un bateau fait partie de ces livres cultes, cultissimes devrais-je plutôt dire, de la bibliothèques des incontournables, tant est si bien qu'il bénéficie même d'éditions de qualité.
A mon âge avancé, je ne l'avais jamais pris entre mes mains.
Je dois reconnaître que le début commençait fort bien. Cela me promettait quelques heures de divine lecture.
Mais, pour moi, à mi-parcours c'est devenu too much. Peut-être n'aurais-je pas dû entreprendre ce livre après un Wodehouse lequel tangente souvent avec cette même ligne jaune.
OUI, après la moitié du livre, je me suis forcé à poursuivre au rythme effréné et sans surprise, sinon de l'agacement, d'un récit perpétuellement en tiroir.
Oui, c'est drôle ! Oui, les averses d'anecdotes sont truculentes !
Oui, c'est bien écrit ! le récit est tortueux comme l'est la Tamise entre Kingston et Oxford.
Mais comme on dit "trop d'information tue l'information", je trouve que l'adage qui s'applique à nombre d'autres domaines, s'applique ici : "trop d'humour tue l'humour". C'est comme Louis de Funès quand il en fait trop, ce n'est non seulement plus risible, mais surtout énervant.
Peut-être faut-il prendre son temps, savoir reposer quelque temps le livre pour que l'humour décante, puis le reprendre plus tard, après avoir lu des drames, des biographies de seconde zone ou autre, que sais-je.
Quand j'aurai un coup de blues, peut-être aurai-je l'idée, sûrement bonne, d'en lire une anecdote ou deux, prises au hasard. vraisemblablement, l'envie de rire reviendra.
Je ne le recommanderai toutefois pas à des jeunes sans quelque précaution.
Trois hommes dans un bateau fait partie de ces livres cultes, cultissimes devrais-je plutôt dire, de la bibliothèques des incontournables, tant est si bien qu'il bénéficie même d'éditions de qualité.
A mon âge avancé, je ne l'avais jamais pris entre mes mains.
Je dois reconnaître que le début commençait fort bien. Cela me promettait quelques heures de divine lecture.
Mais, pour moi, à mi-parcours c'est devenu too much. Peut-être n'aurais-je pas dû entreprendre ce livre après un Wodehouse lequel tangente souvent avec cette même ligne jaune.
OUI, après la moitié du livre, je me suis forcé à poursuivre au rythme effréné et sans surprise, sinon de l'agacement, d'un récit perpétuellement en tiroir.
Oui, c'est drôle ! Oui, les averses d'anecdotes sont truculentes !
Oui, c'est bien écrit ! le récit est tortueux comme l'est la Tamise entre Kingston et Oxford.
Mais comme on dit "trop d'information tue l'information", je trouve que l'adage qui s'applique à nombre d'autres domaines, s'applique ici : "trop d'humour tue l'humour". C'est comme Louis de Funès quand il en fait trop, ce n'est non seulement plus risible, mais surtout énervant.
Peut-être faut-il prendre son temps, savoir reposer quelque temps le livre pour que l'humour décante, puis le reprendre plus tard, après avoir lu des drames, des biographies de seconde zone ou autre, que sais-je.
Quand j'aurai un coup de blues, peut-être aurai-je l'idée, sûrement bonne, d'en lire une anecdote ou deux, prises au hasard. vraisemblablement, l'envie de rire reviendra.
Je ne le recommanderai toutefois pas à des jeunes sans quelque précaution.
