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Critique de Senna
Tout d'abord je remercie comme il se doit les éditions Ynnis et Babelio pour l'envoie de ce magnifique ouvrage. C'est ma première participation à une masse critique.
Les studios Ghibli se sont déjà inspirés d'un récit de Diana Wynne Jones où Hayao Miyazaki nous avait créé une petite merveille nommée « Le château ambulant ». Ici, c'est le fiston – Gorô Miyazaki – qui adapte « Aya et la sorcière ». Je ne parlerais pas du film, ou très peu, puisque je ne l'ai pas vu. Quoi qu'il en soit les traditionnels dessins si délicats japonais ont laissé place à des images de synthèses.
Ce conte pour enfant nous narre une jeune orpheline qui est recueillie par un couple étrange. Tous les protagonistes sont bien travaillés. Nous avons une vilaine sorcière bien sale, un homme mystérieux, un chat noir (ça va de soi) et la jeune demoiselle qui à des rêves.
Bien que j'aie eu un peu de mal avec le début du récit, la suite s'est lu avec beaucoup de facilité. Ici ou là, on y trouve une touche d'humour bien plaisante. L'album est agréable à parcourir avec ces belles illustrations signées Miho Satake, même si les caractères sont un poil trop gros à mon goût.
Les studios Ghibli se sont déjà inspirés d'un récit de Diana Wynne Jones où Hayao Miyazaki nous avait créé une petite merveille nommée « Le château ambulant ». Ici, c'est le fiston – Gorô Miyazaki – qui adapte « Aya et la sorcière ». Je ne parlerais pas du film, ou très peu, puisque je ne l'ai pas vu. Quoi qu'il en soit les traditionnels dessins si délicats japonais ont laissé place à des images de synthèses.
Ce conte pour enfant nous narre une jeune orpheline qui est recueillie par un couple étrange. Tous les protagonistes sont bien travaillés. Nous avons une vilaine sorcière bien sale, un homme mystérieux, un chat noir (ça va de soi) et la jeune demoiselle qui à des rêves.
Bien que j'aie eu un peu de mal avec le début du récit, la suite s'est lu avec beaucoup de facilité. Ici ou là, on y trouve une touche d'humour bien plaisante. L'album est agréable à parcourir avec ces belles illustrations signées Miho Satake, même si les caractères sont un poil trop gros à mon goût.
