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Critique de Shahare
Le personnage principal est assez original. Jeune femme pas très grande mais avec une forte "personnalité", issue d'une famille de policiers, qui n'a peur de rien, et qui trouve naturel de voir des morts. Détective privé qui aide la police de surcroît. le décor est planté.
Ajoutez à cela l'homme le plus beau qui puisse exister qui vient visiter ses rêves de manière assez charnelle, une meilleure amie (et assistante) très exubérante vivant lesdits rêves par procuration, un meurtre, quelques esprits frappeurs malicieux, des tensions familiales, et vous aurez un sympathique roman de fantasy urbaine.
Ca ne casse pas trois pattes à un canard, mais ça n'est pas mal non plus. Personnellement, j'ai trouvé l'enchaînement des péripéties un peu trop soutenu. Tout va très vite et il y a sans arrêt des rebondissements, sans qu'on puisse reprendre son souffle, et cela m'a quelque peu fatigué.
Néanmoins j'ai passé un bon moment avec Charley, et le roman à peine commencé, la question qui nous tient le plus en haleine, nous forçant à ne pas lâcher le livre, est: qui est cet apollon qui hante les rêves de notre héroïne?
Ajoutez à cela l'homme le plus beau qui puisse exister qui vient visiter ses rêves de manière assez charnelle, une meilleure amie (et assistante) très exubérante vivant lesdits rêves par procuration, un meurtre, quelques esprits frappeurs malicieux, des tensions familiales, et vous aurez un sympathique roman de fantasy urbaine.
Ca ne casse pas trois pattes à un canard, mais ça n'est pas mal non plus. Personnellement, j'ai trouvé l'enchaînement des péripéties un peu trop soutenu. Tout va très vite et il y a sans arrêt des rebondissements, sans qu'on puisse reprendre son souffle, et cela m'a quelque peu fatigué.
Néanmoins j'ai passé un bon moment avec Charley, et le roman à peine commencé, la question qui nous tient le plus en haleine, nous forçant à ne pas lâcher le livre, est: qui est cet apollon qui hante les rêves de notre héroïne?
