>
Critique de Alyerel
Loin des clichés du genre, Eva Joyce réinvite le mythe du vampire et nous offre une revisite où la psychologie de ces créatures est reine, tout en conservant son essence originelle.
Kazimierz est violent, dérangeant. Rongé par son immortalité, il ploie sous le fardeau de ses crimes passés, de ses traumatismes et de ses choix pas forcément éclairés. Il peut compter sur l'amitié et la loyauté d'Ivan, un loup-garou peu commode, mais étonnamment attachant. Ensemble, ils vont se confronter à Adèle, à ses troubles, à sa folie. Et ils n'en ressortiront pas indemnes.
Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoil, car les différents rebondissements font tout le charme de ce premier tome, qui, plus qu'introductif, était une véritable porte ouverte sur le mental des protagonistes et sur l'univers qui se cache en filigrane. Les infos sont en effet distillées par touche et servent le récit de cette rencontre haute en couleurs, tout en ouvrant mille possibilité pour la suite.
Au milieu de la violence et des scènes parfois sans concession, je me suis attachée à chaque personnage, d'une certaine façon. J'ai été emportée par leur histoire, leur douleur, au point de dévorer ce roman et de n'avoir qu'une hâte, retrouver toute la fine équipe dans le tome 2.
Le lecteur lui aussi n'en ressort pas indemne. Mais le voyage en vaut carrément la peine !
Kazimierz est violent, dérangeant. Rongé par son immortalité, il ploie sous le fardeau de ses crimes passés, de ses traumatismes et de ses choix pas forcément éclairés. Il peut compter sur l'amitié et la loyauté d'Ivan, un loup-garou peu commode, mais étonnamment attachant. Ensemble, ils vont se confronter à Adèle, à ses troubles, à sa folie. Et ils n'en ressortiront pas indemnes.
Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoil, car les différents rebondissements font tout le charme de ce premier tome, qui, plus qu'introductif, était une véritable porte ouverte sur le mental des protagonistes et sur l'univers qui se cache en filigrane. Les infos sont en effet distillées par touche et servent le récit de cette rencontre haute en couleurs, tout en ouvrant mille possibilité pour la suite.
Au milieu de la violence et des scènes parfois sans concession, je me suis attachée à chaque personnage, d'une certaine façon. J'ai été emportée par leur histoire, leur douleur, au point de dévorer ce roman et de n'avoir qu'une hâte, retrouver toute la fine équipe dans le tome 2.
Le lecteur lui aussi n'en ressort pas indemne. Mais le voyage en vaut carrément la peine !
