Alex Kanse/5
1 notes
Résumé :
Claire et François forment un couple atypique. Lors de leur première rencontre, ils sentent qu'ils se connaissent déjà. Où? Quand? Ils sont les seuls à pouvoir y répondre. Qui sont-ils vraiment? Pourchassés par les uns, protégés par d'autres, ils partent à la quête de leur vie. Et si le destin de l'humanité se résumait à leur rencontre? Et s'ils ne se rencontraient pas, l'humanité pourrait-elle survivre?
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Le prologue est superbe et le livre m'a donc captivé dès le début ! Malheureusement mon engouement est vite redescendu comme un soufflet.
Durant la première moitié du livre on est plus ou moins dans la « réalité . Claire, une jeune fille pas comme les autres vit à Compiègne avec sa mère. Son père étant parti quand elle était une enfant en lui révélant qu'il est en fait son fils. Adolescente, elle découvre peu à peu qu'elle peut se balader d'âme en âme et que son sang est mortel pour qui compte le boira. Accompagnée de Kenno'cha qui est un vampire, ils traquent quelques « violeurs, psychopathes » grâce à Claire qui se faufile dans l'âme de la victime et contacte ensuite les vampires qui viennent libérer le souffre-douleur et régler leurs comptes aux bourreaux.
En dépit de tout cela, Kenno'cha explique à Claire qu'elle a une quête enfouie dans la mémoire de son âme et qu'elle doit trouver pourquoi elle se réincarne constamment.
Dans la deuxième partie du livre, l'auteur nous balade dans le passé en 1017. Claire a pu y aller grâce à son don et elle y rencontre enfin sa moitié, François. Ce passé a duré 980 ans où Claire découvre une grande partie de son histoire. A cela s'ajoute les Maîtres du Temps qui aident notre chère Claire à l'opposé de l'Ordre des Bâtisseur qui veulent la tuer. Ce livre connaîtra une fin inattendue et incompréhensible comme une grande partie de ce roman.
J'ai trouvé ce livre long, ennuyeux et plus d'une fois j'ai eu le sentiment de lire un twilight. Ce livre étant un premier roman, il a la particularité d'avoir plein de fautes d'orthographe et beaucoup d'autres défauts de style et de logique.
Durant la première moitié du livre on est plus ou moins dans la « réalité . Claire, une jeune fille pas comme les autres vit à Compiègne avec sa mère. Son père étant parti quand elle était une enfant en lui révélant qu'il est en fait son fils. Adolescente, elle découvre peu à peu qu'elle peut se balader d'âme en âme et que son sang est mortel pour qui compte le boira. Accompagnée de Kenno'cha qui est un vampire, ils traquent quelques « violeurs, psychopathes » grâce à Claire qui se faufile dans l'âme de la victime et contacte ensuite les vampires qui viennent libérer le souffre-douleur et régler leurs comptes aux bourreaux.
En dépit de tout cela, Kenno'cha explique à Claire qu'elle a une quête enfouie dans la mémoire de son âme et qu'elle doit trouver pourquoi elle se réincarne constamment.
Dans la deuxième partie du livre, l'auteur nous balade dans le passé en 1017. Claire a pu y aller grâce à son don et elle y rencontre enfin sa moitié, François. Ce passé a duré 980 ans où Claire découvre une grande partie de son histoire. A cela s'ajoute les Maîtres du Temps qui aident notre chère Claire à l'opposé de l'Ordre des Bâtisseur qui veulent la tuer. Ce livre connaîtra une fin inattendue et incompréhensible comme une grande partie de ce roman.
J'ai trouvé ce livre long, ennuyeux et plus d'une fois j'ai eu le sentiment de lire un twilight. Ce livre étant un premier roman, il a la particularité d'avoir plein de fautes d'orthographe et beaucoup d'autres défauts de style et de logique.
Suspense, Intrigue, Histoire, pour un premier livre, je dois avouer que c'est une réussite.
Aux premières lignes, j'ai cru connaitre l'intrigue de ce livre que l'on croit déjà avoir lu ou même vu sur les grands écrans, eh bien raté, au fil des pages, j'ai découvert une vrai implication de l'auteur, une recherche et en même un naturel assez déconcertant. Bref difficile de rester sur ce premier livre, vivement le prochain.
En attendant, à mettre en urgence sous le sapin de Noël pour le dévorer au coin du feu.
Aux premières lignes, j'ai cru connaitre l'intrigue de ce livre que l'on croit déjà avoir lu ou même vu sur les grands écrans, eh bien raté, au fil des pages, j'ai découvert une vrai implication de l'auteur, une recherche et en même un naturel assez déconcertant. Bref difficile de rester sur ce premier livre, vivement le prochain.
En attendant, à mettre en urgence sous le sapin de Noël pour le dévorer au coin du feu.
Citations et extraits (7)
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En cours d’anglais, Nicolas me donna un décryptage informatique à résoudre. L’alignement des zéros et du chiffre un en alternance correspondait aux lettres de l’alphabet. Dès que j’eus trouvé la lettre A, je sus ce que contint le billet. Je voyais qu’il avait hâte mais anxieux de ma réaction.
« Je t’aime ». Voilà ce que je pus déchiffrer en dix minutes. Trente minutes supplémentaires furent suffisantes pour rétablir le calme dans mon corps. Je savais que cette tempête intérieure avait laissé des arbres à tout jamais à terre. Il m’aime, il l’avouait enfin. Je n’osais l’aborder de crainte qu’il me prenne pour une demeurée. Mais finalement, c’est lui qui fit le premier pas. Cette semaine fut propice aux confidences et à notre rapprochement.
« Je t’aime ». Voilà ce que je pus déchiffrer en dix minutes. Trente minutes supplémentaires furent suffisantes pour rétablir le calme dans mon corps. Je savais que cette tempête intérieure avait laissé des arbres à tout jamais à terre. Il m’aime, il l’avouait enfin. Je n’osais l’aborder de crainte qu’il me prenne pour une demeurée. Mais finalement, c’est lui qui fit le premier pas. Cette semaine fut propice aux confidences et à notre rapprochement.
La mer me canalise, son bruit, son calme. Les paysages mêlant le bleu, le vert et la luminosité du jour à son crépuscule me permettent de retrouver l'essentiel : la vie.
Je fus en effet impressionnée tout d’abord par l’âge de mes compagnons, ils avaient tous vingt ans ! Que des vieux ! Une fois n’est pas coutume, mais le professeur était un homme. Je n’eus eu affaire qu’à des femmes jusque là. Les élèves, majoritairement des filles, me réservèrent un accueil chaleureux, ce qui me changeait des autres pestes jusque là connues.
Tous les androgynes ainsi séparés, ou communément appelés humains, rejoignirent leur nouvel habitat et la quête de l’Autre commença. Seul le manque de leur moitié pousse les deux êtres à rechercher l’autre. Le sentiment amoureux apparait avec ces premiers humains.
J’entrepris de me replonger dans le Rouge et le Noir de Stendhal. C’était un livre obligatoire pour l’école mais qui traînait en longueur. Je venais de passer l’action où Julien Sorel rencontre Mathilde de la Mole, je m’étonnais d’en être arrivée jusque- là.
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