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Critique de Bazart
Est ce que les toqués sont conscients que leurs tocs sont envahissants, handicapants, incontrôlables ? Oui nous répond Jason Adam Katzenstein, dessinateur au New Yorker.
Dans ce roman graphique très personnel, il nous invite dans sa tête et nous montre sans concession comme les tocs (beaucoup liés à la saleté) l'angoissent, l'isolent, l'obsèdent à différents de sa vie.
J'y ai vu une grande souffrance car au delà de ces pensées qui peuvent paraitre absurdes vues de l'extérieur ou de ces gestes répétées qu'on aurait tôt fait de moquer, Jason Adam Kazenstein montre bien combien l'angoisse est présente dans sa vie et dans beaucoup de moments du quotidien.
Il raconte aussi avec beaucoup de dérision et de sensibilité comment la création artistique et les amis ont été des béquilles et comment il a réussi peu à peu à se détacher de ses tocs.
Une maladie mentale qui prend beaucoup de place dans la vie de ceux qui en souffrent et en même temps souvent invisible vu de "l'extérieur".
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Dans ce roman graphique très personnel, il nous invite dans sa tête et nous montre sans concession comme les tocs (beaucoup liés à la saleté) l'angoissent, l'isolent, l'obsèdent à différents de sa vie.
J'y ai vu une grande souffrance car au delà de ces pensées qui peuvent paraitre absurdes vues de l'extérieur ou de ces gestes répétées qu'on aurait tôt fait de moquer, Jason Adam Kazenstein montre bien combien l'angoisse est présente dans sa vie et dans beaucoup de moments du quotidien.
Il raconte aussi avec beaucoup de dérision et de sensibilité comment la création artistique et les amis ont été des béquilles et comment il a réussi peu à peu à se détacher de ses tocs.
Une maladie mentale qui prend beaucoup de place dans la vie de ceux qui en souffrent et en même temps souvent invisible vu de "l'extérieur".
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
