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Critique de keisha
Aaron Greene, un étudiant timide, effacé, sans histoire, est enlevé alors qu'il se rend à la grosse banque où il travaille comme coursier. Les ravisseurs réclament dix millions de dollars, non pas à la famille, modeste, mais à la banque. Qui n'a pas l'intention d'accepter. La vie d'un humble coursier vaut-elle moins que celle, disons, d'un directeur de banque? Ewell Pender, un riche homme d'affaires, décide de verser une partie de la somme et initie un mouvement de récolte de fonds.
Les ravisseurs communiquent au moyen de cassettes avec la voix du journaliste Cody Yates. Celui ci se lance dans l'enquête, associé à son vieil ami le policier Victor Menotti.
Au départ, une bonne histoire, originale, qui petit à petit conduit le lecteur dans les milieux du journalisme, de la radio la plus racoleuse possible, et de la finance. Yates et Menotti forment un duo intéressant et plein d'humour. Les amours de Yates donnent de l'épaisseur à l'histoire et on aimerait bien le retrouver.
Le lecteur sait dès le début qui a enlevé Aaron Greene. Savoir pourquoi n'est malheureusement pas très clair, pour moi en tout cas, et me laisse un peu sur le bord du chemin. J'ai eu du mal à avoir vraiment peur pour Aaron Greene, dont le personnage demeure bien falot, même si c'est son rôle finalement. Les pages se tournent vite, le rythme est bon, mais au final il me manque un petit peps dans ce roman pour que je sois vraiment emballée.
Je garderai en mémoire le moment où Aaron Greene (sous la surveillance de ses kidnappeurs) se présente en un endroit où on pourrait/devrait le reconnaître, mais non, il est si banal que personne ne fait attention à lui alors que tous les médias parlent de lui. A la fois terrible et crédible!
Lien : http://en-lisant-en-voyagean..
Les ravisseurs communiquent au moyen de cassettes avec la voix du journaliste Cody Yates. Celui ci se lance dans l'enquête, associé à son vieil ami le policier Victor Menotti.
Au départ, une bonne histoire, originale, qui petit à petit conduit le lecteur dans les milieux du journalisme, de la radio la plus racoleuse possible, et de la finance. Yates et Menotti forment un duo intéressant et plein d'humour. Les amours de Yates donnent de l'épaisseur à l'histoire et on aimerait bien le retrouver.
Le lecteur sait dès le début qui a enlevé Aaron Greene. Savoir pourquoi n'est malheureusement pas très clair, pour moi en tout cas, et me laisse un peu sur le bord du chemin. J'ai eu du mal à avoir vraiment peur pour Aaron Greene, dont le personnage demeure bien falot, même si c'est son rôle finalement. Les pages se tournent vite, le rythme est bon, mais au final il me manque un petit peps dans ce roman pour que je sois vraiment emballée.
Je garderai en mémoire le moment où Aaron Greene (sous la surveillance de ses kidnappeurs) se présente en un endroit où on pourrait/devrait le reconnaître, mais non, il est si banal que personne ne fait attention à lui alors que tous les médias parlent de lui. A la fois terrible et crédible!
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